Il se déshabilla dans le salon, ne gardant sur lui que son caleçon. Il voyait son corps à moitié nu dans le miroir : la poitrine couverte de poils blancs, le gros ventre, les jambes excessivement courtes et les ongles des doigts de pied tout jaunes. Dieu soit loué, nous ne nous promenons pas nus, réfléchit-il. Aucun animal n’est aussi laid que sapiens…