Et voilà qu'Adrienne, depuis l'autre hiver, sent passer une menace étrange.
Elle peut devenir pauvre.
Elle peut le devenir, non pas comme le cousin Jean qui vivait avec une rente de deux mille francs, mais comme l'employé du sixième, comme la porteuse de pain, pire encore, comme ces malheureux à qui elle dispensait des bas de laine, des bons de fourneaux économiques et une pièce d'argent enveloppée dans du papier ...