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Citations de J.-H. Rosny aîné (249)


Or,le soleil s'ensanglanta dans le vaste occident, puis il alluma les nuages magnifiques.
(La vie chez les mammouths)
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« Puisqu’un monde vivant, presque un monde humain, a pu jaillir d’un monde minéral (qui, je crois, est animé aussi à sa manière), on peut de proche en proche supposer que des univers entiers, différents des univers actuels, peuvent jaillir de la profondeur insondable. »
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La lune avait blanchie ;elle surgissait finement sur un promontoire, elle tracait une route tremblante sur les ondes.
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« De ce jour une histoire sinistre, dissolvante, mystérieuse, alla de tribu en tribu, murmurée à l’oreille, le soir, aux larges nuits astrales de la Mésopotamie. L’homme allait périr. "L’autre", toujours élargi, dans la forêt, sur les plaines, indestructible, jour par jour dévorerait la race déchue. »
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Nos joies misérables et nos débiles tristesses valent moins que la mort.
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L'an du monde 22649, le septième jour de la huitième lune.
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Notre vie est aussi aride que la vie des captifs ;dans l'étendue morte, les astres ne sont que de monotones points de feux;
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Le fleuve erre lentement parmi les saules ;sa voix éternelle raconte le temps qui passe, la mélancolie des choses périssables.
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C'était vers le tiers de la nuit .Une lune blanche comme la fleur du liseron sillait le long d'un nuage .Elle laissait couler son onde sur la rivière ,sur les rocs taciturnes,elle fondait une à une les ombres de l'abreuvoir .Les mammouths étaient repartis .....
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Et il sut qu'un grand mangeur de chair était entré par l'occident.
(L'ours gris dans la nuit bleue.)
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Mêlons de l'espoir à nos inquiétudes !
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Ce sont bien,sur cette planète les équivalents de l'homme, fit Antoine.
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L'esprit d'aventure nous soutient,une espérance démesurée quoique amortie par l'attente.
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Car,maintenant que les Xipéhuz ont succombé ,mon âme saigne et je demande à l'Unique qu'elle Fatalité a voulu que la splendeur de la Vie soit souillée par les Ténèbres du Meurtre !
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Le chant du déclin s'enflait,planait, descendait des nichées harmonieuses.
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Il vaut mieux de laisser la vie au loup et au léopard qu'à l'homme ; car l'homme que tu n'as pas tué aujourd'hui, il viendra plus tard avec d'autres hommes pour te mettre à mort.
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Les Xipéhuz - 1887 -
Le premier texte de science-fiction en français .
Les premiers exta-terrestres décris dans cette langue .

Les Xipéhuz sont évidemment des Vivants. Toutes leurs allures décèlent la volonté, le caprice, l'association, l'indépendance partielle qui fait distinguer l'Être animal de la plante ou de la chose inerte. Quoique leur mode de progression ne puisse être défini par comparaison--c'est un simple glissement sur terre--il est aisé de voir qu'ils le dirigent à leur gré. On les voit s'arrêter brusquement, se tourner, s'élancer à la poursuite les uns des autres, se promener par deux, par trois, manifester des préférences qui leur feront quitter un compagnon pour aller au loin en rejoindre un autre. Ils n'ont point la faculté d'escalader les arbres, mais ils réussissent à tuer les oiseaux en les attirant par des moyens indécouvrables. On les voit souvent cerner des bêtes sylvestres ou les attendre derrière un buisson; ils ne manquent jamais de les tuer et de les consumer ensuite. On peut poser comme règle qu'ils tuent tous les animaux indistinctement, s'ils peuvent les atteindre, et cela sans motif apparent, car ils ne les consomment point, mais les réduisent simplement en cendres.
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C'était un crépuscule . Les longues trompes sonnaient une musique sauvage , un défi profond et noir comme les ténèbres approchantes .
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Ses cheveux étaient trempés de sang, ses mains pourpres.

(Combat préhistorique, chapitre inédit de Eryrimah)
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Quand le matin erra sur la terre, le Lion géant et la tigresse étaient toujours là.
(Le Lion géant et la tigresse)
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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