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4.14/5 (sur 48 notes)

Nationalité : Australie
Né(e) à : Sydney , 1972
Biographie :

J.L. Perry est l'auteure de plusieurs best-sellers de New Romance qui ont rencontré un grand succès en Australie et en Angleterre.

Mariée et mère, elle vit à Sydney.

Twitter : https://twitter.com/jlperryauthor?lang=fr

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Bibliographie de J. L. Perry   (1)Voir plus

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Mes pensées reviennent au message. Que veut-il dire pas " ne porte rien d'autre " ? Essaie-t-il de me dire que je n'ai pas le droit de porter de culotte ? C'est bien quelque chose que Carter pourrait suggérer. Je me rue sur mon tiroir à sous-vêtement. Quand je regarde à l’intérieur, j'ai le souffle coupé? Il est vide. Tous mes sous-vêtements, ont disparu. Tous. Tout ce qu'il reste, c'est une boite de tampons.
Mesyeux se tournent immédiatement vers la chambre de Carter. Il est devant sa fenêtre, mon sting en dentelle blanche au bout du doigt et un sourire narquois plaqué sur son beau visage. Espèce de crétin exaspérant. Ce n'est qu'un gros, mais beau crétin exaspérant. Même s'il m'énerve vraiment, son superbe sourire taquin me fait sourire aussi Je suis tentée de sortir pour aller acheter la culotte de grand-mère la plus moche que je peux trouver, juste pour le contrarier, mais l'idée d'être sans culotte avec lui m'excite en fait beaucoup.
Je suis impatiente de voit ce que cette soirée nous réserve.
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‒ Oh mon Dieu, murmure Indi, la voix teintée de honte quand le flic dirige sa lampe vers son visage.
Elle cache sa tête contre mon torse tandis que j’enroule mes bras autour d’elle pour la protéger.
‒ Je m’attendais à trouver un couple de gamins, mais vous êtes des adultes ; vous devriez être un peu plus responsables. Je vous donne deux minutes pour filer ou je devrai vous arrêter.
À ces paroles, Indiana se cache un peu plus.
‒ Cachez-moi dans un trou tout de suite, chuchote-t-elle.
J’ai presque envie de rire face à son embarras. Elle y réfléchira davantage avant de me sauter dessus la prochaine fois. Bien que je ne m’en plaigne pas. Tout ce que je me dis, c’est que nous avons eu de la chance que ce ne soit pas Ross. Ça serait plutôt mal tombé.
‒ Désolé, monsieur l’agent. Nous séjournons à l’hôtel Park Hyatt ce soir. On va y aller.
‒ C’est juste là, dit-il avec un air dégoûté en pointant sa torche dans la direction. Vous ne pouviez pas attendre une minute ?
‒ Elle m’a sauté dessus, dis-je en levant les mains pour ma défense.
Indi me pince sur le côté.
‒ Aïe ! fais-je en riant.
Le policier secoue la tête.
‒ Que je ne vous y reprenne pas.
‒ Pardon, monsieur l’agent. Ça n’arrivera pas, dis-je avec une voix sérieuse en essayant de ne pas sourire.
Je remonte la vitre et ris quand il s’éloigne.
‒ Comment as-tu osé ? crie Indi en frappant mon torse.
Cela me fait encore plus rire. 
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Arrachant mon regard de son fantastique décolleté, je plonge les yeux dans les siens. Je suis plutôt content de moi, mais ce sentiment ne dure pas. Je ne m’attendais pas à la colère que je vois sur son visage. Quand a-t-elle perdu son sens de l’humour ? Je suppose que j’aurais dû apprendre des expériences passées que, quand ça la concerne, je joue avec le feu. Surtout en sachant qu’elle a eu cinq ans pour ruminer sa rage contre moi.
Pour la première fois, je n’anticipe pas son prochain mouvement. Quand il arrive, je suis totalement pris par surprise. Elle lève légèrement sa jambe droite et BOUM ! Son genou vient cogner mes roubignoles. Super fort. Merde.
Je manque d’air lorsque la douleur se propage dans tout mon corps. Ma queue ramollit instantanément. Je crois qu’elle vient de les tuer. Je suis presque sûr que mes joyeuses sont remontées quelque part dans ma gorge.
Un son sauvage et aigu m’échappe. Je tombe à genoux, à l’agonie.
‒ Ne t’avise pas de t’approcher de moi, connard ! crie-t-elle avant de se retourner et de courir à l’intérieur.
Appelez une ambulance. Je crois que je vais crever. 
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‒ Tu m’aimes ?
‒ Je ne me contente pas de t’aimer, chérie. Je t’appartiens, entièrement. À un point complètement dingue. Je ne pensais pas que quelqu’un pourrait me faire ressentir ça un jour. C’est toi qui me fais cet effet. Je t’aimais quand je suis parti il y a cinq ans, et ça n’a jamais cessé. Il n’y a toujours eu que toi. 
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‒ Reviens ici, m’ordonne-t-il.
Je l’ignore et continue de marcher. J’atteins à peine le trottoir quand je suis soulevée dans les airs et jetée sur son épaule. Il ne dit rien et moi non plus. Après avoir récupéré sa clé dans sa poche, il ouvre la portière côté passager et me dépose dans la voiture.
Qu’on m’achève, maintenant. 
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‒ Tu n’as donc rien appris l’autre fois ? lance-t-elle en baissant un sourcil.
Mince. Je fais un pas en arrière tandis que mes mains se placent instinctivement sur mes parties. Mes valseuses payent encore les conséquences de ma petite blague avec l’éponge. Je suis quasiment sûr qu’elles ne survivraient pas à un deuxième coup comme celui-là.
L’air déterminé sur son visage me fait faire un deuxième pas en arrière. Je lève l’une de mes mains en signe de rédemption pendant que l’autre protège mes boules. Si j’avais un drapeau blanc, je l’agiterais devant elle. Qu’est-ce qu’elle a ? Quand est-elle devenue une guerrière casseuse de noix ? Je me demande si le minet a déjà eu droit à un coup de genou. Oubliez. Je viens de le voir en action. Il n’a pas de boules. 
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Pour la première fois, je n'anticipe pas son prochain mouvement. Quand il arrive, je suis totalement pris par surprise. Elle lève légèrement sa jambe droite et BOUM ! Son genou vient cogner mes roubignoles. Super fort. Merde.
Je manque d'air lorsque la douleur se propage dans tout mon corps. Ma queue ramollit instantanément. Je crois qu'elle viens de les tuer. Je suis presque sûr que mes joyeuses sont remontées quelques part dans ma gorge.
Un son sauvage et aigu m'échappe . Je tombe à genoux, à l'agonie.
- Ne t'avise pas de t'approcher de moi, connard! crie-t-elle avant de se retourner et de courir à l'intérieur.
Appelez une ambulance. Je crois que je vais crever.
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La main de ma mère se met à trembler alors qu’elle tient la mienne. Je la regarde. Elle a l’air furieuse, comme la fois où j’ai dessiné sur le mur à la maison. Ses yeux font des drôles de trucs.

‒ Tes mains tremblent, maman.

‒ Je vais bien, mon bonhomme, j’ai juste froid.

Elle baisse les yeux sur moi en souriant. Ses yeux expriment le bonheur quand elle me regarde.

‒ Tu veux que je te prête mes gants ?

‒ Non, bébé, dit-elle, et son sourire s’élargit.

Elle s’accroupit et pose ses mains sur mes joues.

‒ Peu importe ce qui se passera quand nous entrerons ici, souviens-toi simplement à quel point je t’aime et comme tu es spécial.

‒ D’accord.

J’adore ma maman. Je sais que je vais aussi adorer mes grands-parents.

‒ Tu es un bon garçon.

Elle se penche et m’embrasse sur la joue avant de se relever et reprendre ma main.

‒ Allons-y.

Pendant que nous parcourons la longue allée, la main de ma mère continue à trembler. Je regrette qu’elle

n’ait pas mis mes gants. Je déteste qu’elle ait froid comme ça.

‒ Un…, deux…, trois…, quatre…, cinq.

Je compte les marches dans ma tête alors que nous les montons avant de nous arrêter devant la grande porte jaune. J’entends ma mère souffler fort. Elle lâche ma main, serre le poing et lève le bras, mais s’arrête à mi-chemin. Elle me regarde, et ses lèvres affichent un petit sourire avant qu’elle finisse par frapper à la porte. Je suis impatient de voir mes grands-parents. J’espère qu’ils ont du chocolat. J’adore le chocolat.

Elle attrape ma main et la serre. Quand la porte s’ouvre, je lève les yeux vers l’homme qui se tient là. Il n’a pas l’air content lorsqu’il voit maman.
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Les battements de mon cœur accélèrent au fur et à mesure que j’approche. Il y a encore cette espèce de mélange d’amour et de haine dans les sentiments qu’elle éveille en moi. Même si j’aime bien ça, ça m’est inconnu et ça me fout la trouille. Quand je suis avec elle, j’ai l’impression d’être vivant.
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- Mais c'est la petite Indianna Montgomery, dit-il en contournant le comptoir. Regarde comme tu as grandis.
Elle a grandi? Mais quelle taille pouvais-elle bien faire avant? On pourrait la glisser dans une poche, là.
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