Nationalité : États-Unis
Né(e) le : 10 Janvier 1897
Mort(e) le : 8 Août 1958
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Né(e) le : 10 Janvier 1897
Mort(e) le : 8 Août 1958
Biographie :
Joseph Patrick McEvoy (10 Janvier, 1897 au 8 Août, 1958), parfois crédité comme John P. McEvoy ou Joseph P. McEvoy, était un écrivain américain dont les histoires ont été publiées au cours des années 1920 et 1930 dans les magazines populaires tels que Liberty, The Saturday Evening Post et Cosmopolitain. il a travaillé comme éditeur pour le P.F. Volland Company en 1919 et a commenté publiquement la mort du fondateur de l'entreprise, Paul Frederick Volland.
Beaucoup de ses histoires ont été adaptés au cinéma au cours de cette période, y compris "It's a Gift" (1934) mettant en vedette W.C. Fields.
McEvoy a également écrit une pièce à succès, "The Potters" (1923) et un certain nombre de romans, dont "Show Girl" (1928) et "Hollywood Girl" (1929). "Show Girl" et "Hollywood Girl" ont été adaptés dans les films "Show Girl" (1928) et "Show Girl in Hollywood" (1930), tous deux avec Alice White. Il a également écrit des livres et des textes pour la revue musicale Americana qui a débuté sur Broadway en 1926 et a été relancée en 1928 et 1932.
McEvoy est peut-être plus connu en tant que créateur et scénariste du comic strip "Dixie Dugan" inspiré de "Show Girl", et qui avait été publié en feuilleton dans un magazine national avec des illustrations de John H. Striebel de 1929 à 1966.
Au cours des années 1940 et 1950, il était un collaborateur régulier du Reader's Digest.
McEvoy a eu quatre enfants: Dorothy et Dennis avec sa première femme, et Patricia et Margaret avec sa troisième épouse, la journaliste Margaret Santry.
+ Voir plusJoseph Patrick McEvoy (10 Janvier, 1897 au 8 Août, 1958), parfois crédité comme John P. McEvoy ou Joseph P. McEvoy, était un écrivain américain dont les histoires ont été publiées au cours des années 1920 et 1930 dans les magazines populaires tels que Liberty, The Saturday Evening Post et Cosmopolitain. il a travaillé comme éditeur pour le P.F. Volland Company en 1919 et a commenté publiquement la mort du fondateur de l'entreprise, Paul Frederick Volland.
Beaucoup de ses histoires ont été adaptés au cinéma au cours de cette période, y compris "It's a Gift" (1934) mettant en vedette W.C. Fields.
McEvoy a également écrit une pièce à succès, "The Potters" (1923) et un certain nombre de romans, dont "Show Girl" (1928) et "Hollywood Girl" (1929). "Show Girl" et "Hollywood Girl" ont été adaptés dans les films "Show Girl" (1928) et "Show Girl in Hollywood" (1930), tous deux avec Alice White. Il a également écrit des livres et des textes pour la revue musicale Americana qui a débuté sur Broadway en 1926 et a été relancée en 1928 et 1932.
McEvoy est peut-être plus connu en tant que créateur et scénariste du comic strip "Dixie Dugan" inspiré de "Show Girl", et qui avait été publié en feuilleton dans un magazine national avec des illustrations de John H. Striebel de 1929 à 1966.
Au cours des années 1940 et 1950, il était un collaborateur régulier du Reader's Digest.
McEvoy a eu quatre enfants: Dorothy et Dennis avec sa première femme, et Patricia et Margaret avec sa troisième épouse, la journaliste Margaret Santry.
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Citations et extraits (4)
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Le mot de la fin
John Wheeler a écrit récemment à l’auteur : « Décembre 2000 marquera le 100ème anniversaire de la plus grande découverte faite dans le monde de la physique, à savoir le quantum. Pour fêter le centenaire, je propose pour votre titre : « The Quantum : the Glory and the Shame » [Le quantum, la gloire et la honte]. Pourquoi la gloire ? Puisqu’il n’existe aucun recoin de la physique que le quantum n’éclaire pas. Pourquoi la honte ? Parce que nous ne savons toujours pas pourquoi le quantum existe. »
John Wheeler a écrit récemment à l’auteur : « Décembre 2000 marquera le 100ème anniversaire de la plus grande découverte faite dans le monde de la physique, à savoir le quantum. Pour fêter le centenaire, je propose pour votre titre : « The Quantum : the Glory and the Shame » [Le quantum, la gloire et la honte]. Pourquoi la gloire ? Puisqu’il n’existe aucun recoin de la physique que le quantum n’éclaire pas. Pourquoi la honte ? Parce que nous ne savons toujours pas pourquoi le quantum existe. »
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