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4.3/5 (sur 165 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

J. S. "Jan" Scott est une écrivaine.

Passionnée par tous les genres littéraires, elle préfère par-dessus tout écrire des romans sentimentaux, des histoires d’amour torrides, contemporaines ou paranormales, dont le héros est généralement un mâle alpha.

Certains figurent d’ailleurs parmi les meilleures ventes recensées par le New York Times et USA Today.

Elle vit dans les montagnes Rocheuses avec son mari.

son site : http://authorjsscott.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/authorjsscott
Twitter : https://twitter.com/AuthorJSScott

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Citations et extraits (136) Voir plus Ajouter une citation
Elle s’accrocha à lui comme une sangsue quand il voulut se libérer. Galvanisée par ses râles d’extase, elle ne perdit pas une goutte de la semence brûlante qu’il déversa en elle à mesure que les spasmes de jouissance le secouaient. Elle éprouvait autant de fierté que d’excitation d’avoir littéralement mis cet homme vigoureux et orgueilleux à ses genoux.
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Son regard pétillait de joie quand elle parlait de son métier. Evan avait l’impression que son merveilleux sourire lui était personnellement destiné. Lui qui n’avait encore jamais cédé à l’impulsion du moment, il perdit ses moyens et succomba à la tentation. Incapable de se retenir, il avança d’un pas, la plaqua contre la portière et sans plus réfléchir, il l’embrassa.

Il gémit en sentant ses lèvres s’écraser sur les siennes, conscient qu’il venait de commettre une erreur qui pourrait mettre en péril sa santé mentale. Il la sentit se raidir entre ses bras, tandis qu’il soutenait sa nuque d’une main pour mieux diriger sa bouche vers la sienne. Un sentiment de satisfaction l’envahit quand la barrette qui retenait ses cheveux se détacha et que ses boucles sombres se répandirent sur ses épaules.

Il savoura la douceur de ses lèvres, qui avaient un goût de chocolat et de café. Il ne pouvait contenir l’incroyable désir qui le poussait vers elle et prit possession de sa bouche comme s’il en était le propriétaire. À son grand soulagement, elle finit par se détendre et lui rendit son baiser. Les bras noués autour de lui, elle enroula sa langue autour de la sienne en un ballet langoureux, répondant à toutes ses attentes. Evan se laissa envahir par un flot de sensations, insensible au froid pénétrant. Chaque fibre de son être réclamait une intimité physique avec la la femme qu’il tenait dans ses bras, afin des’assurer qu’elle se souviendrait longtemps de la flamme qui brûlait entre eux alors que, enlacés, ils s’embrassaient comme s’ils ne pouvaient se rassasier l’un de l’autre. Son sexe gorgé de désir se tendit, presque douloureux, tandis que ses baisers se faisaient plus profonds, sa bouche plus exigeante, le corps dévoré d’une fièvre exacerbée par la ferveur avec laquelle elle répondait à son étreinte.
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Inutile de gaspiller son temps à penser à elle, ou à se demander pourquoi ils se tapaient mutuellement sur les nerfs dès qu’ils étaient en présence l’un de l’autre. Elle assisterait certainement à la fête. Et après ? Ils étaient capables de se comporter en adultes civilisés, non ?

Certes, Randi et lui s’étaient déjà montrés aimables l’un envers l’autre dans le passé, mais Evan s’était juré que, cette fois, il ne céderait pas aux provocations de Miss Tyler. Il se demanda pour la énième fois – cela devenait une véritable obsession – pourquoi l’air se chargeait d’électricité dès qu’ils se retrouvaient ensemble. Heureusement, il n’avait jamais perdu son sang-froid quand il s’était trouvé côte à côte avec cette diablesse durant la cérémonie de mariage de ses frères. D’abord Grady, puis Dante, et enfin Jared. De quoi mettre sa patience à rude épreuve !

Elle avait décrété qu’il était arrogant et autoritaire.

C’était une garce intolérante.

Curieusement, ni sa fortune ni son statut social ne semblaient impressionner cette fille. Elle avait commencé par le traiter en camarade et à le taquiner, comme elle le faisait avec ses amis et les autres Sinclair.
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Il avait le choix entre croiser le fer avec elle ou la coincer contre le mur et la baiser à fond pour se libérer l’esprit.

Et peu importait qu’il fasse un froid de gueux. Sa bite était au garde-à-vous, l’exhortant à choisir la seconde option.

Malheureusement, elle n’éprouvait pas la moindre sympathie pour lui, Evan le savait, et il ne voyait pas comment la convaincre de l’emmener dans son lit.
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L’inconnue avec qui il correspondait et qui signait du pseudonyme « Un résident inquiet d’Amesport » demeurait une énigme. Il s’était efforcé de découvrir son identité, sa curiosité ayant fini par l’emporter sur leur accord mutuel de respecter l’anonymat. Il s’en voulait de lui en avoir fait la promesse, même si cela avait un sens à l’époque, au début de leurs échanges épistolaires. À présent, il aurait voulu faire sa connaissance, alors qu’elle ignorait toujours qu’il était milliardaire et s’appelait Sinclair. Elle croyait s’adresser à un employé de la Fondation et il n’avait jamais cherché à démentir cette hypothèse. En fait, il lui avait donné le change en lui affirmant à plusieurs reprises qu’il était un simple salarié. Pour se donner bonne conscience, il se disait qu’elle ne souhaitait pas savoir qui il était et aurait immédiatement deviné son identité s’il avait révélé sa position dans l’entreprise.
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Il s’agissait d’un désir purement charnel, qu’il s’était évertué à ignorer par crainte de perdre le contrôle de la situation. Randi était peut-être aussi déstabilisée que lui ? Qui sait ?

Quel mal y aurait-il à passer un peu de temps ensemble ? Faire l’amour suffirait-il à exorciser cette attirance qui les poussait l’un vers l’autre ? C’était probable, s’ils donnaient libre cours à leurs fantasmes. Adepte des nuits sans lendemain, il préférait, par ennui, retourner travailler au terme d’une première rencontre. Il ne cultivait pas les liaisons amoureuses, préférant les aventures d’un soir pour assouvir ses besoins, généralement avec des femmes brillantes, obsédées par leur carrière ou leur entreprise. Ce genre de relation lui convenait parfaitement.
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S’il y avait une chose dont il pouvait se vanter, c’était sa maîtrise de soi. Il menait une existence ordonnée, raisonnable et prévisible – tout ce qu’il aimait. À l’exception de la mystérieuse M. et de… Randi Tyler, qui ne laissaient pas de le perturber. Au fond, la relation épistolaire qu’il menait avec cette femme fantôme n’était pas si compliquée. Certes sa personnalité l’intriguait, mais cela ne l’empêchait pas de conserver son anonymat. Avec Randi, c’était autre chose, une réaction qui le prenait aux tripes. Peut-être que son envie de connaître sa mystérieuse correspondante était due en partie à la curiosité, au besoin de savoir s’il aurait la même réaction à son égard qu’envers Randi au moment où il la verrait en chair et en os.
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Amesport n’était peut-être pas Boston, mais c’était une ville côtière dynamique, une destination prisée des touristes qui y affluaient, l’été, pour profiter de la beauté de l’océan ainsi que des sports et autres activités nautiques. « Écrire au Père Noël, tu parles ! » Elle ramassa son manteau et son sac avant de sortir, incapable de comprendre comment un employé des Sinclair pouvait être aussi grossier. C’était totalement inutile. Il aurait pu se contenter de refuser poliment. Ou mieux… ne pas répondre du tout. Au fond, Grady avait sauvé Noël et son appel à l’aide daté de deux mois n’avait plus aucune raison d’être. À quoi cela rimait-il d’envoyer avec un tel retard un courriel aussi arrogant et méprisant.
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Plus d’argent n’est pas synonyme de mieux vivre, enchaîna-t-elle, convaincue que l’on pouvait être très riche et malheureux à la fois. L’argent ne fait pas le bonheur.

Il lui caressa les cheveux avec tendresse.

— Je suis en train de le découvrir. Je te renouvelle mes excuses, Randi. Je suis désolé si je t’ai froissée. Ce n’était pas mon intention.

Il l’appelait par son surnom pour éviter de lui rappeler son enfance malheureuse. Elle était très sensible à cette délicate attention, et comprenait mieux à présent sa réaction à l’idée d’une grossesse imprévue. Ce n’était pas pour les raisons qu’elle avait imaginées. Et cela n’avait rien de rationnel.
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Cher résident inquiet C’était une façon comme une autre de débuter. Il ne connaissait même pas le sexe de l’expéditeur, mais il aurait parié qu’il s’agissait d’une femme. La gent féminine devenait ridiculement sentimentale pendant les fêtes. Il expédia la réponse en précisant qu’ils n’accordaient pas de subvention pour des causes aussi insignifiantes, ferma la page Web et, ayant tôt fait d’oublier le sujet, il se concentra sur la messagerie de la Fondation Sinclair afin de vérifier si le donateur mécontent avait de bonnes raisons de l’être. Evan ne repensa plus à ce mail fâcheux… jusqu’à ce qu’il reçoive une réponse, quelques jours plus tard.
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