Ne nous forçons donc pas aux sanglots, quand Dieu ne fait voir que des motifs de joie. Suivons la pente de notre esprit, je veux dire: l'appel de notre logique; confions nos modestes semences à la terre de notre petit jardin, et laissons faire le Ciel "qui ne se trompe pas" dit Confucius...
... Au fond, la grande prière à faire pour chacun de nous demeure ce magnifique cri de Claudel: "Seigneur délivrez moi de moi même"...