En rêve
Cette nuit-là sans inquiétude et sans blâme
Tu me verras venir comme à l'ordinaire
Et tu me détesteras d'être mort
Tu n'auras pas la force de t'éveiller
Ni de pleurer ni de me repousser ô complice
Dans ce songe sans herbe
Tu ne pourras appeler ni fuir mon image trop éprise de toi
Ni ma bouche encore plus inutile
Qu'au temps sans épaisseur maintenant de ma vie