C’était vraiment la clameur épique, redoutable appareil offensif qui terrorise l’ennemi, engendre l’exploit, et force l’accès de la postérité. Dans ce tumulte, le chœur espagnol se distinguait par un accent plus solennel peut-être et plus farouche aussi, mais, de toute évidence, ceux de La Douce, rompus à ces exercices, avaient pour eux le coffre, le registre, la virtuosité et la foi.