Autre problème à résoudre : les nouvelles parutions. Le ministère lui en avait fait parvenir une vingtaine. Elles étaient en haut, à l'appartement ; il en terminait la lecture. Où allait-il pouvoir les mettre ? ... Il répugnait à leur donner la place des vieux livres. Ceux-ci, même s'ils n'étaient empruntés qu'une fois par-ci par-là, étaient aussi importants à ses yeux que les livres récents. Et puis, il ne fallait pas oublier que, nouveaux ou anciens, les livres passaient de main en main, ce qui avait permis de créer des réseaux de lecteurs.