Citation de beklf
" Il est revenu.
- C'était prévu ! Alors ?
- Il a besoin d'argent.
- Vous avez dit non, j'espère ?
- J'ai dit oui.
- ça, ça ne m'étonne pas de vous , ma petite Hélène. Bravo ! Je vous admire. Vous êtes un exemple pour les jeunes... si ! ... si ! C'est très beau ce que vous avez fait et de plus, nous voilà débarrassés de ce vieil auguste, certes bien émouvant, mais très chiant.
- Vous me faites la gueule, patron ?
- Non ! "
C'était pas une petite somme qu'il lui fallait à l'acteur ! Cinquante billets !... Hélène avait dit oui - en souvenir de son vieux - mais Hélène n'avait pas le blé, alors en fin de parcours, c'est ma pomme qui avançais les biscuits... la poire, c'était moi dans l'histoire !
" Vingt-cinq sacs, ça devrait suffire, non ?
- C'est moi qui vous emprunte le fric, je vous le rendrai.
- Vous me le rendrez s'il vous le rend.
- Vous êtes pingre, patron... ça me fait de la peine.
- QUOI ! Pingre ?!... Je viens de taper 25000 balles à ce pauvre Covet pour les beaux yeux du jeune premier. Je m'endette pour l'artiste, je ruine le journaliste... et voilà comment on me parle !"
- C'était prévu ! Alors ?
- Il a besoin d'argent.
- Vous avez dit non, j'espère ?
- J'ai dit oui.
- ça, ça ne m'étonne pas de vous , ma petite Hélène. Bravo ! Je vous admire. Vous êtes un exemple pour les jeunes... si ! ... si ! C'est très beau ce que vous avez fait et de plus, nous voilà débarrassés de ce vieil auguste, certes bien émouvant, mais très chiant.
- Vous me faites la gueule, patron ?
- Non ! "
C'était pas une petite somme qu'il lui fallait à l'acteur ! Cinquante billets !... Hélène avait dit oui - en souvenir de son vieux - mais Hélène n'avait pas le blé, alors en fin de parcours, c'est ma pomme qui avançais les biscuits... la poire, c'était moi dans l'histoire !
" Vingt-cinq sacs, ça devrait suffire, non ?
- C'est moi qui vous emprunte le fric, je vous le rendrai.
- Vous me le rendrez s'il vous le rend.
- Vous êtes pingre, patron... ça me fait de la peine.
- QUOI ! Pingre ?!... Je viens de taper 25000 balles à ce pauvre Covet pour les beaux yeux du jeune premier. Je m'endette pour l'artiste, je ruine le journaliste... et voilà comment on me parle !"
