Pierre-Paul Grassé, un de nos grands scientifiques maintenant disparu, faisait observer : quiconque endosse la conception aléatoire de l’évolution admet que l’œil et l’oreille, pour devenir ce qu’ils sont, nécessitèrent des milliers et des milliers de hasards heureux, synchronisés aux besoins de leur fabrication.
Quelle est la probabilité d’une réussite si merveilleusement fortuite ?
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