AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de James Swallow (36)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Warhammer 40.000 - Blood Angels, tome 1 : D..

Je suis partagé.





Dans ce court premier tome, la mise en place du schisme hérétique se profile à l'horizon chez les Bloods Angels, chapitre de Space Marine engagé dans la lutte éternelle contre les Traîtres et le chaos et notamment contre un chapitre dévoyés les Word Bearers.





Si l'action sanglante et guerrière est omniprésente, l'auteur n'oublie pas de poser les bases de ce que va être son histoire. Manœuvrer pour faire basculer un chapitre entier au service du chaos. Du jamais vu depuis l'hérésie d'Horus.





Tous les ingrédients sont réunis pour faire un bon bouquin, et pourtant je n'ai pas réussi à accrocher réellement à  l'histoire, j'ai trouvé le style un peu en dehors, manquant de l'emphase nécessaire à ce type de littérature. Pourtant l'auteur n'est pas un lapin de 6 semaines et a une production non négligeable dans la Black Library.





Je rejoins en cela d'autres commentateurs. Peut être que Swallow n'est pas au niveau des Abnett ou McNeill dont j'ai lu la quasi totalité de la production Black Library et souffre de la comparaison.
Commenter  J’apprécie          840
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

Dernier tome de la quadrilogie de départ de la série « l'hérésie d'Horus » dans l'univers Warhammer 40.000.



Après trois premier opus centrés sur Horus et son entourage, l'histoire s'intéresse à un capitaine de bataille de la Death Guard. Dans un temps concomitant à « la galaxie en flamme ». Nous allons suivre Garro, qui va prendre conscience de la trahison d'Horus et de celle de son primarque et tenter d'en informer l'Empereur sur Terra, en s'enfuyant à bord de l'Eisentstein.



Contrairement à ce qu'on pourrait penser (en lisant ça et là), ce tome est une réussite. Indispensable car il révèle l'hérésie d'Horus. Plein d'action et plus d'humour (guerrier bien sûr), du moins au début, que les précédents plus sombres.

Certes, c'est très manichéen, comme l'ensemble de la série d'ailleurs, et peut être encore plus ici, mais on trouve ce qu'on vient chercher.



La suite : Fulgrim.
Commenter  J’apprécie          600
L'hérésie d'Horus, tome 54 - La dague enfouie..

En fait, je pense que vous pouvez lire seulement les 50 dernières pages, vous ne raterez franchement pas grand-chose. La lente décomposition de cette saga avait déjà commencé depuis le tome 42 mais la, ça devient catastrophique entre les personnages sans charismes, les scènes minables dans tous les sens du terme, les flash-back sans saveur (c'était juste l'histoire d'un primarque) et les combats qui n'en sont pas. Ce livre culmine dans sa médiocrité.



Et pourtant, il s'agit d'un des moments centraux de l'hérésie. Mortarion qui jure sa fidélité à Nurgle à cause de Typhon. On doit ressentir la lente agonie de cette légion. Mais à la place, on se retrouve avec un Typhon genre je suis le complot, un Mortarion genre je ne succomberai pas à ce pouvoir. Tout ce voyage de la Death Guard se fait en parallèle de la création des chevaliers gris sur Terra. Chose qui n'a rien à voir avec le thème de ce roman. Garro n'a eu aucun impact donc je me demande l'utilité de ces passages qui me furent un calvaire.



Et en parlant de calvaire, le rythme et l'écriture sont infâmes, tout est enfantin et naïf à la place d'être tragique. L'histoire de Mortarion est longue, seule la conclusion à une utilité. Tout comme pour ce livre en général. le reste, c'est à dire 350 pages se fait en montrant des personnages monolithiques et des scènes monotones lues en diagonale. J'aurais pu lire un résumé sur le wiki, ça serait revenu au même.



Il n'y aucune coutume qui est décrite, le monde de la Death Guard ressemble à un: Oh il y a des nuages verts mortels et rien de plus. la décrépitude de cette légion ressemble à un: Oh il y a des malades. Il n'y a aucune révélation, le seul moment qui m'a retiré de ma torpeur, c'est la dernière page. L'arrivée de Mortarion dans le système Sol. Je vais résumer ce tome avec le mot Dispensable.



Maintenant pour faire un tour de l'hérésie d'horus en général. Il y a des tomes excellents et il y en a des très mauvais. Je vais faire une liste de ceux que j'ai apprécié. Elle ne tient, bien évidemment qu'à moi...

L'ascension d'Horus

Les Faux Dieux

La Galaxie en Flammes

Cette partie est indispensable, le troisième est plutôt médiocre...



Fulgrim un de mes préférés

Légion Sur l'alpha légion, pas mal

Mechanicum Sur Mars, pas mal

Un Millier de Fils le meilleur tome de l'hérésie, indispensable

Prospero Brûle Une suite qui a plu à beaucoup

le Premier Hérétique indispensable, un de mes préférés

Délivrance Perdue sur Corax, pas mal

La Bataille de Calth du bon Abnett en soit

Signus Daemonicus médiocre mais obligatoire

L'Ange Exterminatus Sur Perturabo, un de mes préférés

Félon Suite du premier hérétique, un de mes préférés

Imperium Secundus Guilliman l'hérétique, indispensable

White Scars le nom dit tout, un de mes préférés

Vengeful Spirit pas mal

Pharos suite de l'hérésie de Guilliman, pas mal

le Chemin Céleste suite de White Scars, un de mes préférés

Les Anges de Caliban le seul qui est bon chez les Dark Angels

Les Prétoriens de Dorn Sur Terra, un de mes préférés

Corax le titre dis tout, pas mal

le Maître de l'Humanité mon préféré après Un Millier de Fils

le Fléau du Loup Sur Russ, pas mal

La Mort des Titans Avant Terra, pas mal



Le reste sera nocif pour votre sécurité mentale, après avoir lu les trois premiers, il n'y a plus vraiment d'ordre (sauf si c'est une suite). Pour les recueils, dites vous qu'il y a de tout. J'avais déjà plus ou moins critiqué le fait que après le tome 30, on ne retrouve plus le coté traître à part avec les Night Lords. La galaxie, c'est grand. On dirait qu'on a batifolait que sur quelque milliers de monde alors qu'on est censé en avoir des centaines de milliers. En soit, gros problème d'échelle. On ne nous conte pas les conquêtes des traîtres.



Le problème de cette saga, c'est que les tomes font présentation de la légion, corruption ou reste loyal, Imperium Secondus ou Terra et puis nada. Des batailles comme Beta Gammon ou Tallarn, il est censé en avoir en des milliers. Certaines légions (Salamanders, Dark Angels, Irron Hands, Night Lords, Word Bearers) manquent de consistance même si il existe une autre saga spéciale primarque. Il s'agit vraiment d'une saga inégale. Je suppose que je continuerai avec le siège de Terra...
Commenter  J’apprécie          71
Warhammer 40.000 - Blood Angels, tome 2 : D..

Deuxième partie du roman que James Swallow a consacré aux Blood Angels, qui reprend exactement là où le tome précédent s'est arrêté.

Ne vous laissez pas abuser par le packaging "2 tomes = dyptique", Les deux Deus ne sont qu'un seul et même roman dont l'auteur a fort à propos expliqué qu'il avait été contraint de couper son ouvrage en deux pour faire plaisir à la Black Library. Et hasard ou pas, l'édition français voit les deux tomes faire presque exactement la même longueur, façon jugement de Salomon...



Il est beaucoup plus facile de poursuivre une histoire que de s'y plonger, la lecture de ce tome a donc été très rapide. Les machinations nées dans le premier tome trouvent ici leur développement et leur conclusion. Pas de surprise, Rafen poursuit son combat intellectuel face à l'hérésie portée par son frère, et les choses tournent évidemment mal. De leur côté, les Blood Angels de Baal envoient des émissaires pour en savoir plus sur Arkio l'élu, et les choses tournent évidemment mal. (Les choses tournent toujours évidemment mal dans les romans Black Library, puisque rappelez vous, nous sommes dans un sombre, sombre, noir avenir sans espoir où il n'y a que la guerre...)

Et sans dévoiler les détails de l'intrigue, qui est assez prenante et intéressante, on retrouve les Word Bearers, des démons, des traîtres, et même, en guest star, Mephiston lui-même, au coeur des combats!



Un roman sympathique pour qui aime l'univers de Warhammer 40K, mais qui reste fort dispensable pour les autres. Ma note est à 3.8 pour les premiers (d'où le 4 que je lui donne), mais à 1.7 pour les seconds.
Commenter  J’apprécie          62
L'hérésie d'Horus, tome 42 : Garro, l'arme du..

Garro m'a toujours fait penser à Gavriel Loken mais avec la foi impériale. Le grand problème, c'est que ce livre ne lui fournira pas une véritable âme ou personnalité qui change du lot. James Swallow est en plus un auteur assez médiocre, non pas pour son style (qui a la sympathie d'être lambda) mais car il arrive à nous faire, avec un bon concept de base, un scénario remplis d'incohérence tous plus grosse les unes que les autres. Ainsi que des personnages à la limite de l'archétype (heureusement pour lui, on est dans 40k), sans oublier que les scènes de combat, ce n'est pas son point fort. Et pour du divertissement style 40k, cela reste un comble...



Si je l'ai pris, c'est à cause de Goodreads. A nouveau, cela devait être une mode, on se retrouve avec un genre de recueil fait par un seul auteur. La première pose le concept, Malcador veut se bâtir un genre de police politique impérial avec tous les astartes renégats et les membres des librarium. On commence très mal après la rencontre avec Malcador, il envoie Garro sur Calth pour récupérer un membre du librarium ultramarine. Alors, déjà en termes de temporalité. On est très limite, sans péripétie pour y aller, on est plus que limite mais en plus si le but n'est que celui ci. Mais alors la, la connerie est à son comble, tu l'envoie chercher le putain de Guiliman avec des putains d'ultramarines. Ou au moins, tu donnes des infos sur l'état de Terra mais la on commence déjà avec du lourd. Et en plus, on nous fait le retour en pleine tempête de la ruine sans l'écrire.



Et puis on continue, après le premier recrutement. On le lance dans une mission en huit clos ou il est chargé de buter du traître avec un connard de Custodes, un débile de World Eaters et enfin des imbéciles d'Emperor's Children. On est sur de l'archétype extrême, en plus d'un complot facilement devinable. D'ailleurs pour ce type de truc, l'Alpha Légion aurait été plus logique m'enfin bon...



On continue sur notre route de la débilité et la, bah cette troisième partie est plutôt bonne. Un complot et un rythme bien organisé. Ce Malcador me fait désormais penser à l'empereur mais dans Star Wars. Pour une fois, tout est savamment organisé mais la scène de fin fait un peu trop Star Wars, discussion avec l'empereur. Et malgré tout, ça casse pas trois pattes à un canard



Et puis cette quatrième partie, désormais les sursauts d'espoir, je sais les taire. Et j'avais bien raison, notre bon vieux Garro nous fait une demoiselle prophète en détresse. On se lance dans une chasse aux réponses sur le rôle de Garro dans cette galaxie. Un assassin chargé d'assassiner mais un peu amateur par côté (les sniper laser, ça existe). Et une réponse qui fut une vaste blague. Et pour finir, une conclusion à la hauteur de la mascarade.



Franchement, je ne sais pas ce que j'espérais de ce livre. En connaissant l'auteur, je me doutais que ce n'était pas fameux mais pas à ce point la. Encore une fois, l'impact sur l'hérésie est quasi inexistant. Il y avait des possibilités mais vite parti en fumée. Je saute le 46 et le 47 qui sont eux considéré comme minable sur Goodreads. Je préfère ne même pas tenter le coups...
Commenter  J’apprécie          50
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

On plonge dans ce 4ème tome en adoptant le point de vue d'une nouvelle légion : la Death Guard. Et le décor est vite planté avec son Primarque, Mortarion, et ses guerriers à l'armure vert pâle et blanc... On découvre aussi les Sœurs du silence et on suit tous ce beau monde dans une bataille contre des xenos, évidemment, l'ambiance de Warhammer 40k est toujours là ! Pendant un longue première partie, on découvre les particularités de cette légion qui porte bien son nom (Et les sœurs du silence aussi d'ailleurs), et le capitaine Garro dont on avait laissé l'histoire en suspens à la fin du tome 3. Donc cette première partie reprend la chronologie des événements du tome 3 du point de vue de la Death Guard mais c'est plutôt bien géré et ne s'ennuie pas une seconde.



Dans une seconde partie on reprend directement la suite de « La Galaxie en flammes » et la fuite de Garro dans le vaisseau l'Eisenstein. Et on plonge dans une toute autre ambiance, un huis-clos dans un vaisseau spatiale où Garro et ses hommes sont confrontés à des choix moraux puis à des créatures à l'aspect putride tout droit sorti du Warp.

Cette deuxième partie est passionnante à suivre, l'ambiance y est très bien retranscrite (plein de bonnes idées sur le traitement des corps possédés par les bons soins de papy Nurgle) et des combats plus que prenants ! Jusqu'à un final surprenant et quelque peu frustrant (j'ai cru jusqu'à un certain moment voir l'Empereur... et bah non) avec l'apparition furtive des Imperial Fist et de leur primarque, Rogal Dorn, impressionnants.



En résumé, j'ai beaucoup aimé ce tome, ça m'a permis de replonger dans cet univers en grande pompe et ça fait du bien de retrouver cette ambiance parfois ponctuée d'humour, souvent sombre et guerrière !
Commenter  J’apprécie          50
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

Toujours guidée par mon cher et tendre qui connaît l'univers de Warhammer 40K comme sa poche, je me suis plongée dans le quatrième tome de la série L'Hérésie d'Horus. La Galaxie en flammes avait été un maelström terrible d'émotions. Sans surprise, les pages de sa suite directe se tournent tout aussi vite.



On reprend quand même un peu avant la tragédie d'Istvaan IV pour mieux se mettre dans la peau du personnage principal du roman, le capitaine de bataille Nathaniel Garro, un vieux de la vieille de la Death Guard, légion qui va à son grand désespoir sombrer dans le Chaos. C'est tout un monde qui s'écroule pour ce héros ô combien attachant, plus même que Loken, Torggadon et Tarvitz des tomes précédents ; c'est que lui survit au désastre et se retrouve seul à devoir prendre les décisions les plus difficiles qui soient. "Les autres guerriers de ma légion m'ont trahi. Mon maître est devenu un renégat. Mes frères d'honneur sont morts, et ma légion s'est engagée sur la voie de la perfidie. Mon honneur est tout ce qu'il me reste." C'est dire les abîmes de détresse dans lesquels les soixante-dix derniers loyaux Astartes de la Death Guard et Iacton Qruzz, le "Malentendu" redevenu de son propre chef Luna Wolf après la trahison de son primarque Horus, ont des raisons de tomber. Mais Garro dissimule des trésors de volonté et de ténacité...



Ce personnage principal se dresse au milieu d'une kyrielle de personnages secondaires variés et bien campés, sans concession à la facilité et sans manichéisme. Oui, même dans un monde aussi sombre que celui de 40K, où se dressent l'un contre l'autre l'Empereur et les Puissances de la Ruine, il y a beaucoup plus de gris que de blanc et de noir (ainsi l'apothicaire Voyen ou Solen Decius). C'est le moment de la chute ou du ressaut qui déterminera l'individu.



A noter que le Warp délivre ici un petit échantillonnage de ses si fabuleuses créations avec le Seigneur des Mouches et quelques autres chefs d'oeuvre de Nurgle, la plus avenante des déités du Chaos.



A ne pas manquer enfin, un très beau duel en apesanteur sur notre bonne vieille Lune.
Commenter  J’apprécie          50
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

Encore un roman consacré à un épisode essentiel de la saga : l’évasion d'Isstvan III , le creuset du massacre , d’un groupe de témoins qui pourront prévenir Terra de la trahison d’Horus. En première partie , on fait la connaissance de Nathaniel Garro , de la XIVème légion , la Death Guard, et de son Primarque Mortarion ;où la corruption se répand à travers des confréries occultes.Le Primarque lui-même a ses propres failles qui laissent s’insinuer le Chaos.Un livre à grand spectacle et bien mis en scène :le vaisseau s’appelle L’Eisenstein n’est-ce pas ?
Commenter  J’apprécie          40
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

Ce tome, 4ème dans la chronologie est le premier qui scinde en plusieurs branches l'Hérésie d'Horus.

Nous suivons la fuite du vaisseau spatial de la Death Guard commandé par le capitaine Garro accompagné des itérateurs témoins de l'hérésie du Maître de Guerre.

C'est lui qui avertira Dorn et donc par la suite Terra de la trahison.

C'est un moment-clé dans la saga. On commence aussi à suivre la création des chevaliers Gris et leurs luttes acharnés contre les démons qui commencent à apparaître. Le dogme commence à s'ébranler, les forces du chaos révèlent leurs cartes.

Quel dommage que le niveau d'écriture baisse par rapport aux trois premiers opus. On perd du temps sur des détails techniques ou inintéressants et on passe parfois trop vite sur ce qui fait avancer l'intrigue et l'histoire...

Un des plus gros dilemmes de chaque écrivain de Warhammer, comment se démarquer et s'approprier une histoire à soi et à son style quand elle doit être aussi vivante et raccordée au reste. C'est un fabuleux exercice de style mais ô combien difficile. Ici, le résultat est légèrement mitigé.
Commenter  J’apprécie          30
L'hérésie d'Horus, tome 13 : Némésis, la Guerre..

un tome de l'hérésie où au lieu de suivre des space marines, on suit des assassins. Et ça change. Une construction d'équipe style les 7 salopards et en route Simone, on va flinguer Horus.

On découvre un côté plus humain chez eux. Normal, ils sont légèrement moins modifié que les Astartes.

Et encore, chacun a sa propre conception de ce qu'est ou doit être l'humanité. Beh oui, ils restent des machines à tuer quand même, faudrait pas trop les humaniser.

Du côté des traîtres, on comprend vite que d'humain, il n'y a plus grand chose. Mais le monde ou la tentative d'assassinat d'Horus va avoir lieu est humain.

La guerre d'Horus est enfin accessible au troufion lambda qui a sa chance abattre une carte et non entre ultra-combattants qui se foutent royalement de la pauvre humanité.

Un épisode qui change agréablement de par le point de vue.
Commenter  J’apprécie          30
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

Quatrième tome de l'hérésie d'horus. Ici nous auront le point de vue de Nathaniel Garro du chapitre de la death guard. Ont l'avait déjà vu dans le tome 3. C'est lui qui aidait Tarvitz a rejoindre Istvan III pour prévenir les astrates trahis par Horus.



La première partie du livre reprend donc la fin du tome 3 mais de son point de vue.

Comment fera t'il pour s'échapper du secteur avec le vaisseau l'eseinsten pour se rendre sur Terra et prévenir l'empereur du complot de son seigneur de guerre? On ne va pas se mentir cette première partie aurait pu être raccourcie et elle n'est clairement pas le point fort du roman.



La deuxième partie nous apprendra ce qui arrive a l'équipage après leurs fuite. Et la... Je ne vous en dirais pas plus pour ne pas spoil mais j'ai clairement adoré.





Commenter  J’apprécie          30
L'hérésie d'Horus, tome 10 - Chroniques de l'..

Sept nouvelles situées dans l'univers de Warhammer 40K . Elles concernent des chapitres variés(Custodiens,Space Wolves,Word Bearers,Soeurs de Bataille,Dark Angels,World Eaters) et sont toutes plus ou moins en rapport avec le basculement de la trahison d'Horus. Un des thèmes majeurs concerne la querelle autour du culte de l'Empereur et son aspect séculier ou religieux . En particulier l'avant- dernière nouvelle (La dernière église) qui met en scène l'empereur lui-même .Un recueil de qualité.
Commenter  J’apprécie          30
Les soeurs de bataille, tome 1 : La foi et ..

» « Où sont les femmes ???? » peuvent souvent chanter les habitués de l’univers de Warhammer 40K tant la testosterone y règne.. Et donc en voilà , des meufs ! Mais pas des commodes , pas du tout même , bardées de foi et de calibres voir même un peu fanatiques sur les bords . Dans ce roman nous les voyons à l’œuvre dans leur chasse aux psychers et elles ne font pas dans la dentelle. Cependant Swallow arrive à nous faire percevoir quelques failles dans l’armure et cela donne un bon scénario.
Commenter  J’apprécie          30
L'hérésie d'Horus, tome 21 : Signus Daemonicu..

Pour ce 21e tome de l'Hérésie d'Horus, la Black Library nous emmène dans le système Signus en compagnie des Blood Angels, dont c'est le premier roman consacré dans la série.

Une histoire un peu étrange et qui semble un peu "hors univers" par les événements étranges qui se déroulent dans le système Signus, loin de ce qu'on connait du Warp et du Chaos. L'histoire est plutôt agréable à lire, malgré des longueurs (575 pages en français): comme souvent dans les romans BL, il faut atteindre la moitié du livre pour que quelque chose commence vraiment à faire bouger l'histoire. A partir de là, tout s'enchaine, et James Swallow rend plutôt bien honneur aux Blood Angels et à leur histoire. Sanguinius est plutôt bien décrit/rendu, et c'est un petit plaisir de le voir pour la première fois en action directement. Et contre rien moins qu'un buveur de sang!



Un livre agréable à lire et un gros bonus du fait qu'il s'agisse du premier livre consacré aux Bloods Angels et à Sanguinius. Il souffre de quelques défauts, et de certaines choses qui font un peu lever les sourcils, mais on pardonne vite quand les démons apparaissent.
Commenter  J’apprécie          30
Warhammer 40.000 - Blood Angels, tome 1 : D..

Une aventure sur les Blood Angels dans le sombre, sombre, noir futur de l'univers Warhammer 40000.

Deus Encarmine est le premier livre estampillé "Black Library" de James Swallow. Ses premiers pas dans l'univers futuriste né il y a un quart de siècle sont certes hésitants sur ce premier tome, mais l'auteur n'est pas un écrivain débutant et s'adapte très vite.

J'étais partagé sur les trois, quatre premiers chapitres. Du space marine, Blood Angel, opposé à du Word Bearer, dans une bataille loin du niveau d'un Dan Abnett ou d'un Graham McNeil, ou d'un Ben Counter (les trois auteurs de la trilogie faisant naître le cycle de l'Hérésie d'Horus, en tous points excellente), la banalité de la chose ne la rendait pas vraiment attrayante.

Pourtant, l'arrivée de l'Inquisiteur Stele et des Blood Angels qui l'accompagnaient dans une mission de récupération de relique ayant touché à sa fin va permettre de poser les bases d'une intrigue allant au delà des débiles enchainements de batailles sans intérêt, et dont les prolongements trouveront leur apex dans le second tome, Deus Sanguinius.



Deus Encarmine n'est que la première partie de l'histoire qu'a écrit James Swallow, coupée arbitrairement en deux par les pontes de la Black Library. Il se termine de façon quelque peu abrupte, sans répondre à toutes les questions (forcément...), mais en ayant au moins le mérite de mettre fin à un arc scénaristique.



Ce roman est honnête, et mérite une note au dessus de la moyenne, sans atteindre non plus des sommets. Ma note se situe plutôt à 3.7 qu'à 4.0, mais le système de notation de Babelio est moins nuancé que moi.



J'ai en tout cas lu des critiques acerbes voire même vindicatives sur ce roman, en me promenant sur internet. Ces critiques ne sont pas fondées, hormis sur un ressentiment très chauvin de joueurs de Blood Angels dans le jeu de figurine Warhammer 40k, qui ne semblent guère apprécier que leur chapitre ne soit pas traité comme le plus-magnifique-bourrin-sanguinaire-elite-de-l'impérium. Deus Encarmine est un roman satisfaisant, dont l'intrigue est plutôt prenante, et dont l'action est divertissante. Bref, exactement ce qu'on attend d'un livre de la Black Library.
Commenter  J’apprécie          30
The Horus Heresy - Primarchs : Scions of th..

Un recueil de nouvelles qui ne déçoit pas! Je dois avouer que je suis très agréablement surpris par la qualité des textes qui composent ce recueil, et de façon générale, toute la série "Primarchs" et ses dérivés, qui ne m'a jusqu'ici pas déçu (hormis Fulgrim, dont l'histoire n'apportait rien au puzzle).



Ici, ce sont donc huit nouvelles qui abordent tour à tour l'un des primarques et ses relations avec les autres et leurs légions. Je les ai toutes appréciées, ce qui est rare sur un recueil, et ceci d'autant plus que je n'apprécie pas certains primarques, comme Jaghataï ou Roboute.



Le recueil se paie même le luxe devenu rare ces derniers temps de mentionner explicitement les IIe et XIe légions, dans la nouvelle consacrée à Rogal Dorn, et de nous en révéler un peu plus sur la Damnatio Memoriae qui les frappe.



Bref, une belle réussite, et un bon divertissement pour quiconque apprécie l'univers de l'Hérésie d'Horus.
Commenter  J’apprécie          20
L'Hérésie d'Horus, tome 4 : La Fuite de l'Eis..

Quatrième tome du cycle rédigé par James Swallow, connu pour ses écrits sur les Blood Angel, La Fuite de l'Eisenstein a la particularité de continuer d'où on s'était arrêté à la fin du troisième volet, c'est à dire vers l'escapade du dit vaisseau pour porter la nouvelle à l'Empereur de la trahison d'Horus. Bien que la première trilogie conclut la chute d'Horus, elle n'avait pas cependant laissé incertain le sort des commémorateurs survivants, Mersadie Oliton, Kyril Sindermann et Euphrati Keeler et des quelques Astarté les accompagnant dans leur fuite, dont Nathaniel Garro. Eh bien James Swallow va enfin nous répondre à ce mystère en nous offrant une pleine vue sur la galaxie et surtout pour la première fois sur les dangers que le Warp peut exercer sur un navire spatial en vadrouille. Cependant, la première partie qui fait une centaine de pages nous ramène un peu arrière pour se concentrer sur la lugubre Death Guard introduite précédemment et nous faire entre dans leur intimité.

Nathaniel Garro mène son devoir dans la garde, obéissant fidèlement à ses confrères et son primarque le sombre Mortarion encapuchonné et respirant constamment les poisons en provenance de sa planète natale Barbarus... d'ailleurs ce dernier décide de nommer notre Garro écuyer, un poste d'honneur qui suscite bien des jalousies surtout avec le mesquin Ignatius Grulgor qui l'a toujours méprisé. Garro participe alors à la bataille d'Isstvaan III ou il assiste au massacre et à la sédition de ses frères. Il s'empare du vaisseau l'Eisenstein nommé d'après d'illustres scientifiques de l'ancienne Terra et avec les commémorateurs rescapés de la fusillade prend la tangente et se lance dans l'océan intersidérale de la galaxie afin d'atteindre Terra et d'y apporter le message crucial de la révolte. S'ils y parviennent bien sûr car de nombreux dangers guettent les passagers, entre la plupart de ses collègues d'antan s'étant incrusté en douce dans l'Eisenstein résolu à les occire et l'attention d'un dieu du Chaos sur la frêle coque, rien n'est assuré qu'ils y parviennent sain et sauf...

Une chose est sûre, on quitte bel et bien les intrigues épiques des Son of Horus et du Mournival pour se rendre chez les sinistres membres de la Death Guard dont on est confronté dés le départ. Nous découvrons leur légion, leur organisation, leurs soldats, leurs préceptes et leurs traditions qui sont quelque peu macabres à l'image de leur primarque Mortarion qui suscite l'angoisse, avec ses gardes du corps muets comme une tombe, sa faux tranchante qu'il arbore constamment, son teint pâle et surtout son habitude à humer des toxines nocives pour un être humain qui le rendent bien flippant : en témoigne une scène bien stressante d'une absorption rituelle de poison. Un groupe morose et inflexible, dont l'attitude au combat est d'avancer tout en encaissant les dégats sans jamais reculer.

Heureusement nous les quittons très vite pour opter sur le bombardement de la flotte d'Horus et la fugue du capitaine dans l'Eisenstein. Ce qui ne veut pas dire que l'atmosphère lourd disparaît, loin de là ! Car avec les passagers du vaisseau nous sommes transporté dans l'immensité de l'espace, dans la solitude complète et la crainte asphyxiante de dériver dans la galaxie mais cela va vite devenir secondaire quand le pire frappe l'Eisenstein : le Chaos. Et enfin un dieu se manifeste clairement, sans toutefois y apparaître de sa personne. James Swallow nous gratifie enfin des noires magies d'une des divinité et du plus répugnant des quatre, Nurgle, le Dieu de la Déchéance, de la Pourriture et Seigneur des Mouches, dieu de l'entropie et de toutes les maladies existant dans l'univers (et du coronavirus je présume au vu de notre situation...).

Si vous avez l'estomac sensible, je vous déconseille rapidement la lecture car avec l'apparition des phénomènes liés à Nurgle, vous aurez droit à des images peu ragoutantes, des cadavres pourrissants, des vers infestant les corps, des mouches dévorant des têtes, et des abominations difformes incarnant la moisissure et la charogne. L'horreur de la décomposition dans toute sa "splendeur" , une facette du Chaos qui nous est déployé avec largesse.

En face, les hommes cependant se battent pour leur survie et vivent avec les révélations qu'ils ont appris d'Isstvaan III. Nathaniel Garro vit une véritable épreuve de la foi, sentant ses convictions trahies par les déloyautés de ce qu'il considérait comme ses frères et surtout de son père, Mortarion. Comment se reconstruire face à ces duplicités et assumer la vie de plusieurs passagers quand tout menace ? La foi qui refait surface quand tout est perdu et qui noue les liens. Le courage qui anime aussi les coeurs et qui donne à ses occupants une détermination à survivre quoi qu'il en soit.

Comme toujours Warhammer 40k oblige, l'action est omniprésent dans le récit, à ceci prés qu'une bonne partie des combats ont lieu dans l'éther, donnant un coté huit clos aux luttes, et nous aurons un grisant duel entre un avatar de Nurgle et un Space Marine sur notre bonne vieille lune. Car on verra même un peu, mais de très loin, notre Terre et rencontrerons même quelques terriens dont le mystique Sigilite conseiller de l'Empereur.

Le roman n'est pas parfait bien entendu : il y a beaucoup de zone d'ombres jamais expliqué comme la véritable raison de la trahison de Mortarion, des personnages aux réactions trop peu crédibles (que je dirais pas pour pas spoiler) et peu de suspense garanti pour le sort de quelques-uns qui est très prévisible, sans compter que l'écriture de James Swallow n'est certes pas aussi rustre et peu hargneux que celle de Dan Abnett mais est loin d'être aussi fluide et passionnante que Graham McNeil.

Qu'importe, ce quatrième volet est toujours très bon à suivre, nous explorant un peu plus dans le macrocosme du cycle, avec une plongée terrifiante vers le Warp et le coté repoussant et pourri du Warp. Un voyage dans l'espace effrayant mais très excitant, qui nous montre des hommes en épreuves de leur foi et de leur certitude face à un surnaturel dangereux et qui lance vers une nouvelle voie, celle d'une guerre qui va non seulement se livrer l'humanité entre elles mais surtout l'humanité contre le Chaos.
Commenter  J’apprécie          20
Warhammer 40.000 - Blood Angels, tome 3 : F..

Dans l’univers de Warhammer 40K. Livre consacré au chapitre des Blood Angels ,chapitre particulièrement marqué par un héritage périlleux et une histoire tourmentée . Dans cet opus une tentative de réconciliation entre les divers héritiers de Sanguinius en particulier avec les Flesh Tearer se révèle difficile .mais l’intervention de l’horrible Fabius Bile va changer la donne. J’ai bien aimé ce roman.
Commenter  J’apprécie          20
Deus Ex, tome 1 : Icarus Effect

Encore un livre d’un genre peu courant pour le blog et mes habitudes de lecture ! J’ai remporté ce livre grâce à un concours lancé chez Lumen, intriguée que j’avais été par les discussions à propos de Deus Ex avec mon frère, qui y joue sur console.



Deus Ex : Icarus Effect nous parle d’un futur possible dans lequel les humains peuvent être augmentés par des prothèses, des implants oculaires, ou encore de nombreux éléments destinés à les rendre plus performants. Alors que le débat persiste sur le transhumanisme (faut-il continuer à accepter ces augmentations, cette évolution ?), Ben Saxon se fait recruter par un groupe de personnages qui se prétendent justiciers de ce monde. Mais qui sont-ils vraiment ? Anna Kelso, quant à elle, survit à une attaque ciblée et se retrouve démise de ses fonctions de flic en tâchant de poursuivre son hypothèse appelant à une conspiration autre que celle qu’on veut lui faire avaler. Quels risques prendront-ils tous deux dans leur quête de vérité ?



En me plongeant dans le roman, j’ignorais un peu à quelle sauce j’allais être mangée. Si j’avais eu des discussions intéressantes sur le jeu et sur les réflexions qu’il peut engendrer au niveau éthique avec mon frère, je n’en savais guère plus. Aussi, je me suis laissée porter, et j’avoue avoir été surprise en bien.



Je me méfie toujours un peu avec les récits de SF, mais là, j’ai très vite été embarquée par le ton prenant (bien qu’extérieur) qui fait penser à un récit militaire, mais romancé. Anna Kelso et Ben Saxon sont deux personnages qui ne restent quasiment jamais en place, et qui évoluent dans des contextes peu évidents, qu’il faut décrire avec précision et justesse, et pour moi, le pari a été remporté.



Dès les premières pages, j’ai pu me projeter dans ce futur probable de 2027, déjà parce que le début se situe à Genève, et que j’habite tout proche de cette ville, et ensuite parce que tout est agencé non pas pour nous faire croire à un jeu, comme on pourrait peut-être s’y attendre, mais vraiment dans l’instant présent, avec quelques explications que le lecteur glane au fur et à mesure, s’immergeant encore et toujours plus. D’ailleurs, cette vision de l’avenir m’a semblé très réaliste et pertinente, parce qu’on pourrait parfaitement y arriver un jour. Peut-être pas aussi rapidement qu’en dix ans, mais tout de même. Les complots, les prises de position… c’était clairement ce qu’on pourrait trouver déjà actuellement.



Outre le fait que le contexte est très réaliste de par les descriptions mais aussi les idées qui sont exprimées et les débats rapportés, les moments d’action sont juste extraordinaires ! Tout s’enchaîne avec fluidité, pas de temps mort, et là, par contre, on pourrait voir le tout comme dans une cinématique de jeu vidéo, et j’avoue que je trouve ça très classe. James Swallow a fait un boulot de narration impressionnant ! D’autant plus que les héros ne sont pas infaillibles et qu’on suit le cheminement de leurs pensées pour parvenir à leurs fins, même si cela exige des sacrifices. Le côté militaire, précis, direct, rend les scènes vivantes et puissantes.



Concernant les personnages, j’ai apprécié d’évoluer auprès d’Anna et Ben. Chacun possède ses fractures, ses limites, et ils sont présentés d’emblée comme des gens qui ont souffert et souffrent encore. Seulement, ils avancent et possèdent un caractère bien trempé qui les empêche d’abandonner ce qu’ils ont commencé. J’aime beaucoup ce genre de personnages, vraiment ! Ils se dépassent tout le temps, sans pourtant être des surhommes.



L’intrigue mise en place a de quoi aussi nous plaire et nous tenir en haleine : les complots se dévoilent, ricochent les uns contre les autres, et les révélations sont de plus en plus croustillantes. J’avoue qu’on ne s’ennuie pas et que le rythme est bon ! Il y a des moments plus calmes, exactement comme dans des films d’action, qui servent à mieux rebondir ensuite. La fin du roman laisse planer pas mal de choses, et je serais curieuse de voir ce que donnera la suite, surtout avec les « méchants » mis en lumière tout au long du bouquin !



Au niveau des valeurs, justement. Ce bouquin nous fait réfléchir à des notions d’éthique, déjà. Que penserions-nous de ces augmentés, de ces personnes qui s’ajoutent (par nécessité ou en entrant dans une certaine fonction) de nouvelles technologies dans le corps ? Est-ce là une réelle évolution du genre humain ?

Ensuite, dans un conflit, cela nous amène à nous demander jusqu’où nous irions pour nos principes, et jusqu’où pourrions-nous aller après nous être engagés ? Que ferions-nous si nous réalisions que nous nous étions trompés ? Suivrions-nous toujours nos principes, ou choisirions-nous la sécurité ? Je trouve que le roman nous fait vraiment réfléchir, parce que les personnages se retrouvent dans des situations extrêmes qui les poussent à bout, à choisir en fonction de ce qu’ils croient. C’est clairement pas évident !



En conclusion, Deus Ex : Icarus Effect aura été une bien sympathique découverte pour moi. Il se lit facilement, nous plonge dans un futur probable et réaliste de par les contextes et descriptions évoqués, mais aussi par les débats et les réflexions qui pourraient surgir d’une telle évolution par rapport à notre époque. L’intrigue est prenante, les personnages sont dotés d’un fort caractère avec leurs faiblesses, et on prend plaisir à les suivre. Les scènes d’action sont grandioses, il n’y a pas de temps mort dans le roman, et clairement, ça nous fait réfléchir en nous immergeant dans un univers pas si éloigné du nôtre, mais assez épique, tout de même.

Ce sera donc un 17/20 pour moi et je le conseille !
Lien : http://leden-des-reves.blogs..
Commenter  J’apprécie          20
Deus Ex, tome 1 : Icarus Effect

Grande fan de l’univers du jeu vidéo Deus Ex, j’ai replongé, avec grand plaisir, dans cet univers si atypique, au côté de James Swallow et de ses protagonistes.



Passion mise à part, je pense que Deus Ex, Icarus Effect peut plaire à un plus large public. Mettant de côté la franchise du jeu, l’auteur nous un livre doté d’un univers très enrichi, bien développé ainsi qu’une histoire indépendante de la série.



Alors si tout comme moi, tu aimes la science-fiction où l’on met en scène un futur proche, avec une société technologiquement avancée, notamment sur la cybernétique, ce roman pourra te plaire. Tu te laisseras facilement séduire par cette histoire.



En 2027, le monde est au bord du chaos, la cybernétique est en passe de s’imposer. Dans un monde ultra-connecté, où la technologie est avancée, au cœur des tensions : les augmentations. Ces derniers sont des produits issus de la science qui peuvent être associés au corps humain, comme par exemple un bras, une jambe bionique ou encore des implants neuronaux rendant la vue ou les réflexes bien meilleurs. Le monde semble dominé par l’envie de rivaliser avec « Dieu ».



C’est dans ce contexte de Trans-humanisme et de tensions politiques que James Swallow nous livre un roman addictif et prenant en plus d’une ambiance sombre. Un condensé d’action, de tensions avec une bonne intrigue politique ou s’entremêlent complots, machination et combat pour la vérité.



Je dois vous avouez que le scénario est dans le fond très classique, mais il n’en reste pas moins efficace, très prenant ! Tout comme les personnages, on n’y retrouvera pas des personnages très évolués psychologiquement, ni même profonds. Ils sont dans la veine de ce genre de livre, assez charismatiques pour continuer à suivre l’aventure. On y retrouve le soldat qui sait aussi bien se servir de ses poings, de ses ‘augmentations’ que de son intelligence, tout comme on aime suivre les héroïnes qui sont prêtes à tout pour découvrir la vérité. Bienvenue dans le monde trépident de Ben Saxon et d’Anna Kelso !



Icarus Effect se révèle être une excellente surprise ! Il a tout pour être une lecture addictive ! Un univers riche, complexe sans perdre en réalisme. Un condensé d’action dans un style épuré et efficace marquant les limites de la quête de l’évolution humaine avec son lot d’intrigues politique et complotiste !
Lien : http://hidesbouquine.blogspo..
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de James Swallow (238)Voir plus

Quiz Voir plus

BLEACH

Dans quelle ville se déroule l'histoire de bleach ?

Nakamura
Tokyo
Karakura
Nagasaki

9 questions
29 lecteurs ont répondu
Thèmes : shonen , manga fantastique , spirituelCréer un quiz sur cet auteur

{* *}