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Critiques de Janet E. Morris (3)
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La Grande fornicatrice de Silistra

Vu qu'il n'y en pas encore eu de faite, et que son titre ne l'aide pas, je me lance dans une critique....



Estri Hadrath Diet Estrazi (Estri pour les intimes) est une grande fornicatrice, rang parmi les plus respectés de sa civilisation avec les Gardiens de l'histoire (bien que d'autres fonctions sociales et honorifiques soient croisées au cour du roman). C'est donc à un monde différent et dépaysant tant par la faune et la flore que par les meurs, la logique et la structure sociale que nous sommes confrontés à la lecture de ce roman. En soi, ce sont des critères qui me suffisent pour apprécier un roman de sf.



Estri se retrouve en charge d'une mission à accomplir afin d'honorer le chaldra que lui à légué sa mère, sorte de dette d'honneur identique à certaines sociétés asiatiques et africaines. Son père, un être supposé mythique extra-planétaire, doit être retrouvé pour des raisons plus ou moins confuses relevant de la prophétie.



S'en suivent de nombreuses péripéties mêlées de notions et de dons m'ayant fait penser à Ambre de Zelasny. N'ayant pas encore lus les tomes suivants je ne peux que présager d'une direction pour la suite, mais je pense que la suite sera d'autant plus passionnante et créative.



Bien évidemment, en lien avec le titre, il y a un rapport fort aux rapports charnels, mais ceux-ci sont juste évoqués bien que présents, et procèdent plus d'une psychologie d'Estri et de son monde et soulignent l'aspect matériel et incarné de cette héroïne que d'un truc à la Ron Hubbard (et c'est tant mieux !). La seule chose que je trouve vraiment dommage ce sont les problèmes de dépendance affective et psychologique d'Estri... Je me suis attachée à son histoire mais pas à elle en raison de son manque d'indépendance émotionnelle. Il en résulte par moment une vision "faible" de la femme, manipulatrice et encore à un stade œdipien avec tout être mâle passant à sa portée... Cette conception de la psyché d'Estri est défendable et valable et, malgré les points négatifs, c'est agréable ne pas avoir à faire à un héro tout puissant et parfaitement sur et maître de lui.



Au final, un bon début de cycle, j'en attend beaucoup de la suite et ai passé un agréable moment de lecture.
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La Grande fornicatrice de Silistra

Je termine "La grande fornicatrice de Silistra".

Un genre space opera à l'érotisme "soft" où la domination s'exerce dans une réciprocité qui permet au récit d'avancer comme une construction dont on ne connait pas le plan. Tout semble être prétexte à ces jeux sexuels auxquels se soumet particulièrement l'héroïne, comme une addiction à laquelle elle ne peut échapper.

Mais, au contraire, ce n'est pas grâce à cela qu'elle parviendra au but de son aventure.

L'utilisation d'un "dialecte local" et la description de la faune, de la flore, des matériaux, si elle nous porte à l'exotisme des lieux parcourus par les personnages, ajoute au contraire une certaine confusion à suivre le récit à chercher l'équivalence sans y parvenir vraiment.
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Les secrets de préparation mental de l'armée US

Il y a des années près de vingt ans que j'ai lu le documentaire du colonel John .B Alexander. En le relisant, je me suis souvenue du projet Jedi un projet de modélisation des performances humaines reposant sur les techniques de la programmation neuro-linguistiques et ce livre vous montre comment être plus performant le seul bémol. Ce n'est pas les techniques mais s'ils ont véritablement arrivé à un résultat tangible bien sûr il y a tableau avec des chiffres mais ont faire dire n'importe quoi aux chiffres.
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