Citations de Jasinda Wilder (105)
- Arrête de faire chier, Malcom.
Je repoussai violemment Malcolm Henry, qui bascula en arrière.
- C’est une question légitime, Dorsay. Bon sang, tu kiffes Nell Hawthorne depuis la nuit des temps! Quand est-ce que tu va devenir un homme et l’inviter à sortir?
I’m not just falling in love with you, Nell. I’m falling into you. You’re an ocean, and I’m falling in, drowning in the depths of who you are. Like you said, it’s scary in a way, but it’s also the most amazing thing I’ve ever experienced. You are the most amazing thing I’ve ever experienced.
Je perds l’équilibre, j’ai le vertige et plus beaucoup de souffle. Colton s’arrête soudain.
– Accroche-toi à l’encadrement de la porte, m’ordonne-t-il.
J’obéis et il me sourit, un sourire de prédateur.
– Maintenant écarte les pieds… de la largeur de tes épaules… voilà, comme ça. Ne bouge plus. Et accroche-toi.
Je crois savoir ce qu’il a en tête et je n’arrive plus à respirer, mon cœur est coincé dans ma gorge.
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Le temps guérit toutes les blessures, n'est-ce pas ? Eh bien peut-être que j'ai eu suffisamment de temps et que maintenant j'ai besoin de passer à autre chose, de lâcher prise. D'avoir quelque chose qui me rend heureuse après tant d'années de malheur.
La compassion et la pitié, ce sont deux choses différentes : la pitié, c'est regarder quelqu'un de haut, être désolé pour lui mais ne rien lui proposer. La compassion, c'est voir sa douleur et lui offrir sa compréhension.
Ca peut être drôle si tu fais ça bien. Mais les gueules de bois, c'est toujours l'horreur.
Je ne pouvais pas pleurer pour la douleur
de mon cœur parce qu’elle ne passerait jamais. Elle ne faisait que devenir plus lourde et plus aiguë, à chaque minute, chaque heure, chaque jour.
Je fermais les yeux ; quelque chose de chaud et de mouillé coula le long de ma joue. Ce n’était pas une larme. [...] Le liquide sur ma joue, c’était le sang de mon cœur déchiré en lambeaux.
- Tu ne pourra pas toujours te retenir, dit Colton de nulle part.
- Si, je peux.
Je n'avais pas le choix.
- Tu deviendras folle. Faudra bien que ça sorte, d'une façon ou d'une autre.
- Je préfère être folle que brisée.
- Je crois que tu as peur. De moi.Je crois que tu dis que tu me protèges de toi, mais en réalité tu as juste peur parce que je te fais ressentir des choses que tu ne comprends pas.
- Kylie...
Et je tiens pour certain, quoi qu'il puisse arriver, Car mon coeur même le dit dans sa douleur amère, Mieux vaut avoir connu l'amour suivi d'un deuil austère, Que la paix de celui qui n'a jamais aimé.
Et pendant les minutes et les heures que je passe à dévorer son amour pour moi, son amour en moi, je ne suis rien d'autre que sa Nell à lui, celle qui n'a ni cicatrices ni fantômes.
Tu n'as jamais eu de nom.
Tu n'as jamais eu de visage.
Les milliers de respirations que tu prendras jamais
Résonnent dans ma tête.
Mon enfant, mon enfant, mon enfant.
Les questions scintillent comme les étoiles.
Infinies dans la nuit.
Avais-tu des rêves?
Avais-tu une âme?
Qui aurais-tu été?
Tu n'as jamais connu mes bras,
Tu n'as jamais connu ceux de ta mère,
Mon enfant, mon enfant, mon enfant.
Je rêverai pour toi,
Je respirerai pour toi,
J'implorerai Dieu pour toi,
J'agiterais mes poings, crierai et pleurerai pour toi.
Cette chanson est pour toi,
C'est tout ce que j'ai,
Ça ne donne pas de nom.
Ça ne donne pas de visage.
Mais c'est tout ce que j'ai à donner.
Tout mon amour est dans ces mots que je chante,
Dans chaque note hantée de ma guitare,
Mon enfant, mon enfant, mon enfant.
Tu n'es pas parti,
Parce que tu n'es jamais arrivé.
Mais cela ne veut pas dire
Que tu n'es pas aimé.
Cela ne veut pas dire que l'on t'as oublié.
Toi l'enfant qui n'est pas né.
Je t'enterre
Avec cette chanson.
Je te pleure
Avec cette chanson.
Ce livre est dédié à tous ceux qui ont perdu quelqu'un qu'ils aiment, à tous ceux qui se sont réveillés en pleurs et se sont couchés dans le même état, à tous ceux qui ont dû apprendre qu'il n'y avait pas de mal à aller mal. Survivre, ce n'est pas être fort, c'est continuer à respirer un jour après l'autre. Etre fort, c'est apprendre à vivre en dépit de la douleur.
La porte claque en guise de réponse et je ris. Je suis content qu'elle réussisse à rire. Ça veut dire qu'elle gère pour de vrai. Je sais qu'elle garde beaucoup à l'intérieur, cependant. Elle me fait son petit numéro. Elle aura bientôt de nouvelles cicatrices sur ses poignets.
J'ai l'impression que chaque cellule de mon corps me hurle dessus. Je ne suis plus qu'une épave dans ses bras. Le feu brûle encore dans mes veines. C'est une guerre incessante qui se joue dans mon âme, entre culpabilité et apaisement.
La douleur pour remplacer la douleur.
[...] les longues ont été faites juste pour souffrir, la douleur comme un pansement.
Ouais. C'est pour ça qu'elle se coupe. J'aimerai juste en connaître la raison.
Et maintenant on apprend à tomber amoureux ensemble. Je me moque de ce que disent les autres. Je t'aime. Je t'aimerai toujours, peu importe ce qui se passe dans le futur. Je t'aime maintenant et pour toujours.
Chaque mot qui s'échappe de ses lèvres est comme une poésie, une chanson rythmée par le va-et-vient de nos corps enlacés.
Il n'y a ni début, ni fin, ni lui, ni moi, il n'y a que nous, que la perfection, celle de nos âmes et de nos corps qui fusionnent dans l'ivresse du plaisir.