Le garçon regarde autour de lui le calme du sous-bois où rien ne bruit, rien ne se meut. Il prend conscience de l’odeur de la montagne, un parfum violent pétri de pourrissement végétal, d’écorces, de polypores et de mousses gorgées d’eau, de choses invertébrées rampant en secret sous de vieilles souches et de roches friables dans le lit des ruisseaux.
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