Une grande fatigue étreint maintenant le fils. La clarté du sous-bois décline, un froid humide se lève, chargé du parfum de la nuit, de trous d’eau croupissante, de souches et de fougères rances. Il tire du sac le T-shirt de la mère et y enfouit le visage pour en respirer l’odeur.
(pages 230-231)