Les îles aujourd'hui m'attirent : elles satisfont mieux que mes plages d'autrefois mon désir de rivage. Surtout, ces îles dont les deux côtes contrastent : la côte dite "sauvage", avec ses falaises et ses amoncellements de rochers prêts à s'ébouler, et l'autre la "civilisée", tournée vers le continent, bordée de petites dunes, douces comme la peau d'une femme.