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4.01/5 (sur 37 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Montréal, Québec , 1948
Biographie :

Après ses études classiques chez les Sulpiciens, Jean Bouchart d`Orval a complété des études en physique et en génie nucléaire à l'Université de Montréal, puis il a travaillé pendant dix ans pour Hydro-Québec.

Pendant tout ce temps, il se posait des questions plus fondamentales que celles auxquelles la science et même la pensée peuvent répondre.

Après de nombreux séjours dans l’Himalaya indien, c’est en Occident qu’il a continué d'approfondir sa démarche et que se réactualisa de plus en plus l'intuition fondamentale de l'existence qui l'avait saisi dès l'adolescence.

Depuis plus de vingt ans, Jean Bouchart d'Orval écrit des livres et propose des rencontres publiques qui sont autant d'invitations à une exploration fondée sur le pressentiment de la joie sans cause et son actualisation dans la vie.

Il ne se réclame d'aucune école en particulier, mais sa pensée est modulée par l’intuition de la non-dualité.

site:
http://www.jeanbouchartdorval.com/
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Source : http://www.jeanbouchartdorval.com
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Bibliographie de Jean Bouchart d`Orval   (24)Voir plus

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Un regard sans direction
L’agitation, l’anxiété, la douleur du devenir fluctuant, les espoirs et les regrets, bref, la souffrance, sont les symptômes d’un manque de discernement, d’un manque d’attention.
Pour se libérer de l’étau du temps, seule compte l’attention.
Non pas une attention tendue vers un but, qui serait une nouvelle variante de la même agitation, mais une attention jaillit spontanément de l’étonnement, comme celle du physicien devant ce qui est…
L’attention dont il est question ici est donc non directionnelle, tout le contraire d’une concentration.
Ce n’est pas un effort ; l’effort est le symptôme certain de l’errance.
L’attention consiste à s’occuper de ce qui est là…
(page 183)
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L’homme traditionnel (…) c’est l’homme dont la vie est axé sur ce qui est intemporel et impersonnel, sur le sacré.
Est sacré ce qui est sans but, sans calcul, ce qui est pur élan, irrépressible enthousiasme intérieur.
(page 29)
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Depuis nos toutes premières expériences sensorielles en tant qu’enfants, nous avons construit un réseau d’éléments mémorisés dont les innombrables mailles forment ce que nous appelons distraitement le monde, comme s’il s’agissait d’un monde séparé de la connaissance que nous en avons.
(page 238)
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La véritable connaissance est intérieure, intuitive, directe, non intellectuelle.
(page 25)
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Il y a des milliards de pauvres sur terre.Donnez-leur à manger,à boire,éduquez-les,donnez leur assez d'argent:vous verrez qu'ils ne seront pas plus heureux.La preuve?Nous avons tout cela ici et nous nous plaignons toujours.Le malheur des êtres humains n'est pas lié à leur situation de vie,il est lié à leurs pensées.Or,les occidentaux repus pensent énormément...Ils s'ennuient beaucoup.Pourquoi souffrons-nous tant alors que,matériellement,nous sommes les plus choyés?
Les gens se pleignent de toutes sortes de manières.A première vue,ils n'en donnent pas l'air.Mais si vous bavardez quelques minutes avec eux,vous voyez tout de suite que leur vie est une longue complainte.
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"Les commentateurs modernes parlent souvent de la liberté absolue de Siva. Mais Siva n’est pas « libre », il est Siva ! Alors pourquoi parle-t-on tant de sa liberté ? Tout simplement parce que nous sommes complètement imprégnés de notre asservissement et que Siva (la Lumière consciente, notre vraie nature) n’est pas asservi ; à cette absence d’asservissement, cette absence de bornes, nous donnons le nom de liberté. Mais de quoi Siva pourrait-il être libre alors que rien n’existe qui n’est Lui ? Même notre asservissement n’est autre qu’une expression de sa spontanéité. Nous ne pouvons imaginer qu’une liberté individuelle, cette caricature si exacerbée à notre époque. La Lumière consciente est liberté-spontanéité (svatantrya) : comment pourrait-il y avoir le moindre obstacle au déploiement de son énergie, puisqu’autre qu’elle n’existe pas ? Notre fantasme de liberté individuelle nous vient, bien sûr, de la nostalgie de notre vraie nature spontanée et de cette énorme confusion entre ce que nous sommes (l’Identité absolue) et l’image de nous-mêmes que nous avons forgée à travers nos années. Nous définissons notre illusoire liberté individuelle en fonction des obstacles possibles, mais quel obstacle pourrait surgir pour l’Unique ?
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On reconnaît toujours l'arbre à ses fruits.La religion,c'est la peur,et le résultat en est la violence:la religion a été à l'origine et au cœur de haines, d'exactions, de guerres, de luttes et de conflits sanglants depuis des milliers d'années et c'est loin d'être terminé,comme vous le voyez.
La religion est une calamité symptomatique de l'âge sombre de la terre;mais ce ne sont pas les religions elles-mêmes qu'il faut éliminer,c'est l'ignorance et la peur de l'être humain.La religion perd sont emprise là oû l'ignorance recule.
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Étonnant , Stupéfiant, Bouleversant.

La pensée ne parviendra sans doute jamais
à trouver le mot puissant et juste à souhait
pour nommer sa surprise face au dévoilement
du secret le mieux gardé qui soit.

Secret infiniment intime, bien sûr,
mais aussi le plus universel qui soit !
Que si peu d'entre nous encore
aient réalisé et pensé cette formidable vérité si proche
paraît invraisemblable, renversant, proprement inouï.

Cela demeure
sans contredit le fait marquant de l'histoire de l'humanité
jusqu'à maintenant,
car c'est le manque de la pensée qui a donné
le ton à tout ce qui a été jusqu'à nos jours.
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L’Égypte ancienne recèle la clé capable de délivrer l’homme moderne des ses tourments. La cause profonde des malheurs qui nous affligent, tant individuellement que collectivement, n’est pas d’ordre économique, financier, politique ou social ; elle est d’abord et avant tout de nature spirituelle. Toutes nos difficultés à bien vivre sur terre sont des symptômes de l’oubli de l’essentiel, cet essentiel que l’ancienne Égypte avait installé au cœur de sa vie. Ce que nous sommes est impensable, inconcevable, sans bornes et intemporel. Une société fondée sur autre chose que cette vérité ultime, peu importe sa puissance économique et militaire, ne peut vivre dans la paix et l’harmonie.
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Toute maladie naît d’une perception de la réalité qui engendre un déséquilibre au niveau biologique. Et toute personne malade est un programmateur qui s’ignore et qui réécrit face à un stress, son histoire afin de pouvoir survivre
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