Il se moquait pas mal de savoir comment vivaient les gens qu'ils allaient secourir. La seule chose qui lui importait, comme aux autres, ceux qui travaillaient au siège devant leur ordinateur, c'était d'avoir trouvé des " bénéficiaires ". Grâce à eux, l'association allait pouvoir recevoir l'argent de l'Union européenne et la machine caritative continuerait de tourner.