« Pour plaire à des gens qui me détestaient, faire ce que tout le monde souhaitait que je fasse (trouver un bon travail, me marier, faire des enfants, avoir une belle maison, etc.). J’ai couru tout le temps sans m’arrêter, en me disant : “quand j’aurai ça, je serai heureuse”, et quand j’atteignais un but, je me rendais compte qu’il ne m’apportait aucune satisfaction, du coup j’enchaînais immédiatement avec le suivant, une course éperdue au bonheur qui n’arrivait jamais. »