Ainsi donc, sous le règne de la critique officielle -- c'est-a-dire celle dont la mission consiste à présenter la modernisation marchande du monde comme l'accomplissement admirable d'une volonté divine -- non seulement le lecteur est maintenu dans l'ignorance de la critique orwellienne de l'état présent des choses, mais toute velléité de s'y intéresser est soigneusement découragée par les calomnies appropriées.