Dhôtel écrit comme il marche, prodigieusement attentif aux lueurs fugitives, aux sautes de vent, à la merveille fragile d'une orchidée ou d'un champignon, à la forme imagée d'un nuage, aux signaux du hasard. C'est bien pourquoi tous ses livres invitent à la promenade, et tous ses personnages déambulent animés d'une active paresse, et d'une dévotion éblouie à la fable du monde.