(Laurence, sa fille aînée) : Et puis, il y a ce que tu as écrit, toi. C'est longtemps après ta mort que j'ai lu pour la première fois Un singe en hiver. Dans ton œuvre, la frontière entre la fiction et la biographie est mince. C'était comme si j'avais reçu une émouvante lettre posthume, dans un style admirable. (p. 44)