Oh, vous savez... Je me trouvais alors dans une disposition d'esprit tout à fait particulière.
Je ne pense pas que seul mon corps s'était adapté au mode de vie sauvage. C'est tout mon esprit qui était alors dans un état animal.
Je garde de cette période une impression vague, sans repère de durée, sans pensée formulées. Mes premiers temps à Songy eux-mêmes sont très flous. Je ne songeais alors qu'à la nourriture et au moyens de l'obtenir.