C’était le temps des cerises – des coquelicots pornographiques aux pétales de petites lèvres et des fraises de petis nichons pointus de demoiselles de bonne famille -, tout humide, gorgé de rosée et de bave en limace. La nature mouillait, éperdue de désir, et de cet amour que le père de Foucauld sentait brûler sous sa braguette pour sa cousine, vierge folle qui le faisait marcher dans la campagne lorraine.