On ne se méfie pas assez de ce qui est inconnu. Lorsqu’on chasse, la mort frappe dès qu’on relâche son attention. Elle frappe dès qu’on est sourd aux pas feutrés, indifférent aux branches qui s’agitent, insensible à l’odeur de la peur. Et elle frappe aussi dès qu’on se méprend sur le monde des sentiments.