En prison à ces instants où le soleil qui pénétrait par la fenêtre dispersait la cellule, chacun de nous devenait de plus en plus, vivait de sa propre vie, et la vivait d’une façon si aiguë que nous en avions mal, étant isolés, et conscients de notre emprisonnement par les éclats de cette fête qui éblouissait le reste du monde, mais les jours de pluie, au contraire, la cellule n’était plus qu’une masse informe d’avant la naissance, avec une âme unique où la conscience universelle se perdait.