Il faut sans doute, pour bien vieillir, en prendre et s'en donner le temps, vaincre l'impatience de paraître une fois encore avant l'inévitable baisser de rideau, et non pas courir, comme il en est, pauvres clowns fébriles menacés d'ataxie, à travers les décombres de leur vie qu'ils pensent ressusciter rien qu'en en replantant le décor.