Mais, quel qu'il ait été, j'ai aimé mon destin, soit que je n'aie eu qu'à le suivre, soit que j'aie dû le vaincre. C'est le plus noble jeu de lutter contre lui, mais je n'ai jamais sérieusement souhaité d'être né un autre homme. Nos manques nous servent autant que nos biens. (p. 16)