Les hommes et les femmes avaient des visages fiévreux de malades. On les devinait lâches, prêts à toutes les concessions. Ils étaient mornes, avec cependant une étrange férocité d’êtres faibles dans leurs yeux agiles. Des bêtes trop souvent battues qui auraient sans cesse ravalé leur désir de mordre et d’égorger.