Catherine de Médicis fait de la cour de France la cour la plus "italianisée" d'Europe. L'Italien y est une deuxième langue connue de beaucoup ; nombre d'exilés de Milan, de Florence ou de Naples acquièrent auprès des souverains français fonctions et titres importants ; jeux, pièces de théâtre, musique sont souvent importés d'outre-monts. C'est aussi le cas de la danse, comme la volta.