La grande poilade. Avec ce titre, on pouvait s’attendre au pire, je n’ai pas été déçu. Le pire est arrivé.
On atteint le fond. Des rigolos de fin de banquet, « humoristes » autoproclamés, racontaient leurs histoires les plus drôles.
La grossièreté, la vulgarité, l’autosatisfaction des « humoristes » et l’enthousiasme d’un public ravi et hilare, m’ont accablé.