Eduardo Arroyo - Grand pas du Saint-Bernard 1965
“Je peignais l’histoire, non comme elle a été faite ou enseignée, mais comme j’aurais voulu qu’elle soit, c‘est-à-dire tellement différente... D’où le détournement, la caricature, le côté dérisoire, grotesque... Et l’irrespect que je montre parfois pour la peinture, c’est en fait l’amour de la peinture”