[H. Bruch] écrit plus loin : "Dans les désordres nutritionnels graves, le made n'est pas un "bouc émissaire" qui peut abandonner ses symptômes quand le type des relations familiales change, bien que de tels changements soient de la plus grande importance...". C'est aussi l'avis des auteurs de La faim et le corps qui voient en la psychothérapie des familles un élément "tout à fait précieux mais insuffisant" du traitement.