La pratique de certains blogueurs compulsifs en témoigne, qui croit révéler la profondeur d'un être irremplaçable quand elle trahit en réalité la soif d'une expression sans destinataires, seulement entêtée d'elle-même, autrement dit : une vaine solitude. "Aimez-moi", réclame à tous vents l'internaute naturellement porté à l’égocentrisme, indiquez que vous m'avez lu, peu importe comment, un simple clic suffira"...