Le principe était pourtant correct, infime le risque d'erreur fondamentale, dans un processus que nous avions longuement mis au point en duo. Pour chaque essai, nous passions près d'une demie heure à calibrer et focaliser l'un des lasers sur l'entrée Un de la table de mixage. Suivait la même calibration systématique sur la seconde entrée, suivie d'une demie heure de réglages, afin d'adapter les niveaux relatifs de puissance et la phase absolue des deux sources via un cycle de tests certes assez complexe, mais en partie automatisé par l'ordinateur central.