Ni pour lui, ni pour moi, le doute n’était pas permis, il couvrirait bien le premier match. Sa voix est claire et dynamique. Il serait là.
C’est bien que cette plaque existe, mais je n’ai pas besoin de cela pour me souvenir de Thierry quand je reviens au Stade de France…
Tu te faisais déjà une joie de vivre ce mondial au Brésil. Cela te rappelait ta première coupe du Monde, au Chili en 1962, commentée en différé dans des conditions inimaginables.
Je ne t'oublie pas Thierry. Le public ne t'oublie pas.
"« Tu te faisais déjà une joie de vivre ce mondial au Brésil. Cela te rappelait ta première coupe du Monde, au Chili en 1962, commentée en différé dans des conditions inimaginables. C’était il y a deux ans. Je ne t’oublie pas Thierry. Le public ne t’oublie pas. Un quart de siècle à arpenter ensemble tous les stades de la planète, ça en fait des souvenirs ! A la télévision, les spectateurs nous voyaient furtivement derrière nos micros. Ils nous entendaient nous enflammer, nous indigner, nous amuser. Aujourd’hui, j’ai eu envie de raconter un peu les coulisses de cette aventure, les moments drôles et quelques petits secrets de ce « spectacle » qu’est devenu le football. Je voulais aussi faire le point sur ce sport qui nous a tant fait vibrer et auquel toi et moi nous avons consacré une grande partie de nos vies. A quoi ressemble-t-il vraiment en 2014 ? Que penser de ces joueurs-stars, du ballon-business et de l’équipe de France de Didier Deschamps ? Qu’en aurions-nous dit toi et moi ? Je suis sûr d’une chose : on n’aurait pas utilisé la langue de bois … »
J’ai eu l’impression que ces cinq minutes passées avec mon ami défunt avaient duré le temps d’un long film.
Dans le mot amateur, il y a le mot aimer. Les amateurs aiment le foot. Le foot est une question d'amour et de passion
L'appareil de la fédération, le board, est un repaire de feignants qui considèrent avoir eu la chance inespérée d'arriver à ces postes de responsabilités et font tout pour y rester en passant entre les vagues.
Au regard des compositions qu'il sort de son chapeau et de son coaching plus qu'aléatoire [...]. Domenech sait seulement qu'il lui faut 11 joueurs sur le terrain et qu'il à le droit à 3 changements.
Leur principal souci quotidien est de trouver comment être mieux payés en en faisant toujours moins.
Pendant 72h, ça a été la fête du string plus que du ballon.