Construire notre avenir implique aussi la prise en compte de la domination des sociétés du web, des menaces sur Internet qui mettent à mal la souveraineté des états, des entreprises, des administrations, des personnes. Des garde-fous juridiques sont aussi à anticiper et à construire face à la couverture mondiale d’Internet et aux futures exploitations du progrès par exemple des NBIC (les nanotechnologies, les biotechnologies, l’informatique et les sciences cognitives) dont l’intelligence artificielle. Toute jeunesse porte les espérances et l’avenir d’une communauté, les enjeux de formation appellent une attention particulière en relation avec la vision du citoyen et de la société civile de demain.
Mais au monde virtuel reconstitué à partir des données numérisées et à ses logiques s’oppose le monde réel, celui des organisations, des personnes, de leur culture, de leur comportements, des situations acquises, des pouvoirs et avantages qui en résultent.