Nurmi n’a jamais nié avoir monnayé un grand nombre de ses prestations. Il a même la réputation d’être intraitable lors de l’établissement des contrats. Il exige par exemple que le montant du contrat lui soit versé avant le départ de chaque course. Un jour, un organisateur ne lui verse que les trois quarts de la somme fixée. Nurmi alors s’arrête aux trois quarts de l’épreuve et attend son dû, qu’il ne touchera jamais.