Je crois m'être méfié de Braguette dès la première seconde où je l'ai vu. Il incarnait à mes yeux cette variété de salaud lumineux, de nanti désinvolte dépourvu de conscience politique, pour qui les femmes étaient un divertissement au même titre que le golf, les courses de côte et le slalom spécial. [...]. Il était la parfaite incarnation du salopard mythique aux exigences d'ogre que les femmes aiment tant combler.