Après tout, l'une et l'autre considéraient n'avoir fait que leur devoir. il y avait aussi trop de fantômes et d'ombres malfaisantes dans les arrières-cours de la mémoire, des trahisons, des lâchetés, des camarades tombés entre les mains de la Gestapo, parfois déportés, fusillés, et quelques autres qui avaient préféré se suicider par crainte de parler.