Nationalité : France
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Biographie :
Jean-Paul Viart est journaliste passionné d'Histoire.
Il a publié, chez Larousse, 1914-1918 La Première Guerre mondiale et 1939-1945 La Seconde Guerre mondiale (2011), Un Siècle d'école (2012) et Chroniques de la Première Guerre mondiale (2013).
Spécialiste du monde sauvage, il a participé à la publication de nombreuses collections encyclopédiques consacrées aux animaux.
Il écrit dans différents magazines, Trésor du goût, par exemple, dont il est rédacteur en chef depuis 2008.
Jean-Paul Viart est journaliste passionné d'Histoire.
Il a publié, chez Larousse, 1914-1918 La Première Guerre mondiale et 1939-1945 La Seconde Guerre mondiale (2011), Un Siècle d'école (2012) et Chroniques de la Première Guerre mondiale (2013).
Spécialiste du monde sauvage, il a participé à la publication de nombreuses collections encyclopédiques consacrées aux animaux.
Il écrit dans différents magazines, Trésor du goût, par exemple, dont il est rédacteur en chef depuis 2008.
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Jean-Paul Viart vous présente son ouvrage « Un siècle d'école, toute l'histoire de l'école, de Jules Ferry à nos jours » aux éditions Larousse.
Citations et extraits (6)
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Le 6 septembre 1914, face à l'avance allemande qui menace Paris, le général Gallieni réquisitionne plusieurs centaines de taxis parisiens qui quittent la capitale dans la nuit. Ces Renault AG-1, à la silhouette caractéristique, acheminent entre 4000 et 5000 soldats des 103 et 104 Régiments d'infanterie sur le front de la Marne.
En avril 1915, les Turcs - engagés aux côtés des puissances centrales commencent à se livrer à une répression féroce envers les Arméniens, jugés notamment trop favorables aux Russes. Des centaines de notables sont assassinés à Constantinople. Les militaires arméniens sont désarmés et progressivement éliminés. Une chasse sans merci s'organise. Au terme d'un an de déportation et de massacre d'une rare sauvagerie, le bilan est terrible: 1,2 millions de morts, soit les deux tiers des Arméniens vivant sur le territoire de l'actuelle Turquie.
Une fumée, constituée d'un mélange de chlore et peroxyde d'azote, s'élève des lignese allemandes et s'insinue dans les tranchées alliées, causant la mort de 5 000 soldats. Plus de 15 000 soldats sont intoxiqués. Les gaz de combat sont utilisés dans les deux camps jusqu'en septembre 1917. Pourtant, les caprices des vents et l'amélioration des techniques de protection limitent leur utilisation.
En France, une loi de juin 1915 permet à des ouvriers spécialisé - les affectés spéciaux - de quitter le front pour assurer la production. La main d'oeuvre est renforcée par des réfugiés belges et de nombreux travailleurs venus des colonies, Africains et Indochinois - outre les 600 000 combattants des unités coloniales.
Au début du conflit, les avions sont moins développés que leurs rivaux, les aérostats dirigeables. Ces dirigeables bombardiers sont, pour quelques mois, les maîtres du ciel.
Dès la fin de l'année 1914, les services de santé doivent en effet prendre en charge, dans des conditions périlleuses, quelques 800 000 blessés et plus de 300 000 malades.
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