« C’est ridicule. Personne ne perd son frère et sa mère, puis quatre ans plus tard, son père – à l’âge de 22 ans. ça n’arrive jamais, ce genre de choses. Même dans les romans. Il y a une limite à l’indécence, quand même. Le romancier plonge son héros dans la tragédie, il ne va pas en rajouter une couche. Il est sur le point d’ajouter un troisième décès, et puis il se reprend : » ah non honnêtement, c’est impossible, il faut que je trouve autre chose. »