Bien entendu, son musicien favori était Bach. Quant aux autres, disait-il, il préférait les lire plutôt que les écouter. « Douces sont les mélodies que l’on entend, plus douces encore celles que l’on n’entend pas. » – Voilà ce qu’il disait. Au fond il était un peu filou. Quelquefois, il me glaçait le sang. Et malgré son long visage maigre, il n’était pas sensible.