Et pourtant ce besoin chaque nuit de tirer à lui le bois qui va protéger l'obscur.
Polir la douleur dans l'ombre de chaque arbre resserré par la nuit.
Sentir l'écorce de chaque chose.
Et sentir que tout est là, toujours. Même si nuit après nuit le chagrin se dérobe. Comment expliquer que le chagrin s'en va et qu'aucune consolation ne prend sa place.