Nationalité : États-Unis
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Biographie :
Jeff Giles est journaliste et écrivain.
Diplômé de l'Université Brown, il a écrit pour de nombreux magazines comme Rolling Stone et le New York Times Book Review.
Il a été rédacteur en chef du magazine "Entertainment Weekly", qui couvre les domaines du cinéma, de la télévision, de la musique, des livres et de la culture populaire en général.
"Les âmes perdues, tome 1 : Les Terres du bas" (The Edge of Everything, 2017) est son premier roman.
Il vit dans le Montana avec sa famille.
Twitter : https://twitter.com/mrjeffgiles?lang=fr
Jeff Giles est journaliste et écrivain.
Diplômé de l'Université Brown, il a écrit pour de nombreux magazines comme Rolling Stone et le New York Times Book Review.
Il a été rédacteur en chef du magazine "Entertainment Weekly", qui couvre les domaines du cinéma, de la télévision, de la musique, des livres et de la culture populaire en général.
"Les âmes perdues, tome 1 : Les Terres du bas" (The Edge of Everything, 2017) est son premier roman.
Il vit dans le Montana avec sa famille.
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Parfois, il entendait les Bissell s’interroger tout haut à son sujet quand ils le croyaient endormi. Venait-il de l’enfer, était-ce ce qu’il entendait par les Terres du Bas ? Pourquoi avait-il été envoyé ici ? Qu’avait-il fait ? Était-il vivant ? Mort-vivant ? Quels étaient ses superpouvoirs, et quel était son talon d’Achille ? Ces deux dernières questions émanaient de Jonah qui, alors qu’X battait des paupières lors d’un de ses brefs réveils, était venu lui demander à l’oreille s’il faisait partie de l’équipe des Avengers.
Il y avait un vieux couple appelé Bert et Betty. Il y avait un garçon perdu dans les bois sans manteau ni gants. Deux chiens.
Et une fille.
X aurait pu invoquer son visage pour se le représenter avec une clarté parfaite, mais il s’en abstint soigneusement. Il se contenta d’une brève image mentale, mais cela lui suffit pour comprendre qu’elle était trop adorable – trop farouche et pleine d’espoir – pour qu’il s’en remette un jour.
Et une fille.
X aurait pu invoquer son visage pour se le représenter avec une clarté parfaite, mais il s’en abstint soigneusement. Il se contenta d’une brève image mentale, mais cela lui suffit pour comprendre qu’elle était trop adorable – trop farouche et pleine d’espoir – pour qu’il s’en remette un jour.
– Pourquoi vous mettre en danger ? s’enquit-il. Pourquoi faire tout cela pour moi ?
Zoé baissa les yeux sur la main qui étreignait légèrement son bras. Elle lui décocha un sourire qui dessina une trace de lumière dans l’ombre.
– Il n’y a rien de bien à la télé, répondit-elle.
Zoé baissa les yeux sur la main qui étreignait légèrement son bras. Elle lui décocha un sourire qui dessina une trace de lumière dans l’ombre.
– Il n’y a rien de bien à la télé, répondit-elle.
Zoé avait dix-sept ans et, avec ce qu’elle avait déjà encaissé dans sa vie, elle savait qu’il était dément de s’attacher à une personne de plus. Mais peut-être que la souffrance d’X, d’où qu’elle vienne, l’aiderait à oublier son propre chagrin.
C'est facile de dire qu'on regrette, surtout une fois qu'on s'est fait prendre.
Je ne puis rester ici à faire semblant d'être quelqu'un que je ne suis pas.
Je t'aime pour tout ce que tu étais, papa, finit-elle par dire. Je te pardonne pour tout ce que tu n'étais pas.
" Ils avaient beau n'être séparés que de quelques mètres, ils étaient à des kilomètres l'un de l'autre."
- Je l'aimais, dit-elle, je pense que l'aimais juste assez pour que ça me bousille pour toujours.
X ne résista pas. Au moins, son châtiment avait commencé, ce qui signifiait qu'un jour, il s'achèverait.
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Ronsard a écrit trois volumes de vers pour trois femmes différentes. La première et la dernière, Cassandre et Hélène, ne l’approchèrent point ; l’une parce qu’elle était trop belle et l’autre parce qu’elle était hideuse. C’est du moins ce qu’en disent ceux qui les ont connues ; mais Ronsard, ne voulait rien d’elles que leurs noms à mettre en sonnets, fit Cassandre plus belle encore que Cassandre, et daigna donner à Hélène tout ce que Dieu lui avait refusé. Aussi nous les voyons toutes deux incomparables.
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