Pour comprendre pleinement l’émotion qui a gonflé mon cœur alors que mes doigts se refermaient sur l’argent, réalisant alors qu’aucun maître ne pourrait me le prendre - que c’était mon dû -, que mes mains étaient à moi, et que je pourrais gagner plus encore de ces précieuses pièces - il faut soi-même, d’une certaine manière, avoir été esclave.