Certains ne supportaient pas la peur. Ils préféraient les chaînes, le fouet plutôt que la peur. Ils voulaient rebrousser chemin. Mais ça, non, c’était hors de question, personne ne devait connaître les routes empruntées par le Chemin de fer. C’est pour ça que j’avais un pistolet, un grand pistolet : « Un nègre mort ne parle pas », je leur disais.