Aux livres, j'ai compris que je pouvais tout offrir. Ma tête, mon coeur et ma peau.
La littérature est ma branche d'arbre et je suis son hibou, ce joyeux poilu qui la nuit s'agrippe à elle en dégustant le noir. Depuis toujours, la littérature me déguise, me protège, comme un petit parapluie. Et elle permet tout.Mettre une odeur sur le camphre, une image sur la Renaissance. Fréquenter des hommes dangereux, visiter des lieux interdits (...) rêver l'Amérique (...) nager chez les sirènes, boire l'aridité et contempler la lune. (p. 110) [ "Dans ma cabane" par julien Dufresne-Lamy ]